Sounds of silence ▽ Pv Nath

Nath + Eva

Octobre 1901
- belle journée au soleil

Et voilà, je repars en mission avec un novice, celui-ci n’est pas le mien, ou du moins pas encore, puisque mon corbeau de petit novice pas si jeune que ça, avait fuis mystérieusement. Je ne pouvais pas dire que je le regrettais… il était grognon et ça ne fonctionnai pas vraiment en mission. J’espère qu’on ne va pas me coller quelqu’un d’autre, je ne suis pas super guide. Enfin, peut-être que si mais je ne suis pas d’accord. Enfin bon. L’ordre de mission était tombé comme une lettre sur la soupe, comme aimait le faire Nemo. A croire, qu’il faisait près de nous envoyer une lettre avec le moins d’informations ! Et comme j’étais en Espagne pour une autre affaire de la Ligue, ils ont dû se dire que je serais très bien pour me rendre à Ponferrada. Le voyage en train avait été intéressant, j'aime bien cette machinerie, tout comme voler en avion ou en aéronef, il avait quelque chose de magique… Pour une sorcière, cela était presque ironique.

Enfin bon, en octobre le temps ici était radieux et je dois dire que même lorsqu'il faisait chaud, j’allais sans aucun doute prendre des couleurs. Et tant mieux. J’aime cet astre autant que les nuits sans étoiles. Deux visions différentes, mais au moins, je pouvais voir correctement en journée. Cette belle journée me mettait d’une humeur plus pétillante que le montrait mon regard azuré… et c’est d’un pas frétillant de joie que je m’avançais sur la place où j’avais rendez-vous avec mon coéquipier. Un certain Calloway. On avait une phrase idiote à nous donner, la mienne était : les fleurs ne fleurissent pas dans un jardin. Cela était sûrement d’une sagesse que je ne pouvais comprendre. Niveau tenue, j’avais opté pour une robe  brune assez longue, pouvant se fendre sur le côté afin de dégager mes mouvements. Sous celle-ci j’avais un pantalon brun en Daim avec mes bottes et chaussettes en cuir, contenant plusieurs lames ainsi que dans mon corset brun même dans mes cheveux noués dans un chignon raffiné.

Enfin bon, je m’étais assise sur le rebord de la fontaine en forme de poisson gerbant sa flotte. Mon novice aurait l’adresse de notre appartement et surtout une seconde lettre avec plus d’information que « soucis Espagne stop s’y rendre à cette adresse ct » avec les maigres informations. J’avais une petite valise de voyage avec mes affaires de ma précédente mission.

Je vis une silhouette masculine se détacher des autres et venir m’accoster, si ce n’était pas le premier des trente minutes (oui j’étais en avance), il était le seul à me dire correctement cette phrase édifiante. Je l'accueille avec un large sourire ravi aussi pétillant que les bulles de champagnes de mon pays ! Je me suis levé d’un mouvement dynamique.

« Bonjour monsieur Calloway. Evalyn Bousquet. Eva suffit bien et si on peut se tutoyer je serais plus à l’aise. Je suis enchantée. » dis-je en toute franchise sans s'encombrer de plus de politesse, mon ton était à l’image de mon humeur : joyeux. J'ai pris le temps de le détailler un peu, il était … trop bien habillé. Donc un homme riche et en plus il était charmant, non il était magnifique. J’espère que ce n’est pas le genre de noble, très beau mais des vrais connards, j’en avais suffisamment connu comme ça. Et franchement, je n’avais pas envie de me prendre la tête avec une personnalité difficile. Pour une fois, je voulais passer une mission sans coéquipier grognon, à croire que Kaer m’avait remarqué. Dans un sens, il m’avait pris pour une cruche. Je ne suis peut-être pas la fille la plus intelligente du monde, je l’accorde mais quand même…

« En avant ! J’ai hâte de m'asseoir dans un canapé, je rentre de mission et j’aimerai bien me reposer un peu avant de partir. Ou du moins de boire un grand verre d’eau ! Et nous avons à parler de la suite et de notre fonctionnement à chacun voir de nos pouvoir si tu es doté de magie. » il pourrait être un verre à plume avec des ailes de colibri, que je ne serais pas qu’il en ait un ! Je n’ai pas d’odorat et mise à part reconnaître un vampire -* qui aurait brûlé vu la luminosité – ou un corbeau pour les mêmes raisons… j’ignore ce qu'il est. Même si cette image de chimère ne lui irait pas. Il avait une belle stature de lion, comme le symbole sur sa chevalière. Enfin si c’est une buse… je pourrais me consoler en le trouvant agréable. Ça sauvera un peu la mise.

Nath + Eva

Octobre 1902 - belle journée au soleil

Ah ! Il a l’air chaleureux ce grand noble ! Oui tout le monde est grand pour une femme de 1m58 ! Je lui rendis son rictus par mimétisme mais parce que j’étais contente d'entendre un peu de chaleur dans un timbre de voix ! Et en plus, il est d’accord pour le tutoiement ! Je vous aimes déjà monsieur « Nath » - en cas d’urgence - Calloway !

« Merci Nathaniel ! » dis-je quand même pour marquer que j’étais satisfaite de ce point, après tout, il ne peut pas lire dans mes pensées pour savoir que ça me soulage de ne pas faire trop de formalisme. C’est donc plein d’engouement que je l’invite à se mettre en route pour notre appartement loué par la Ligue, j’espère qu’il sera confortable, pas forcément le grand luxe mais un minimum je suis lasse ! Et gentleman anglais qu’il est, me propose son bras que je prends sans aucune once d’hésitation.

« Nous allons revenir avec un bronzage qui choquerait nos compatriotes ! Ou dans mon cas… on va me prendre pour un homard qui parle ! Brrr, finir en homard à l'armoricaine, quel destin tragique ! » voila une pointe d’humour et je ricane doucement à l’image s’imposant dans ma tête. Non décidément, j’ai l’esprit bien volubile aujourd’hui, sûrement la fatigue. J’espère qu’il a de l’humour… bon sinon je ferais avec, comme avec mon ancien novice rabat- joie, je resterai pétillante et il boudera !

Sur le chemin, il me questionna sur ma tenue, oui j’ai chaud… Pourquoi il veut me la retirer ? Hurf… Eva, tu n’es plus une « catin » au service de messieurs trop fortunés qui on peut d’un délestage de bourses à deux niveaux … les vieux réflexe ont la vie dure quand même ! En tout cas, cette proposition est assez étonnante venant d’un homme… quoique à la Ligue de plus en plus de femme porte un pantalon pour les missions, plus pratique que les robes… donc même s’il novice il a dû en voir peut-être sa mentor ? Enfin, j’apprécie ce petit vent novateur.

« Merci de votre sollicitude et de ne pas vous ombrager d’une tenue moins conventionnel pour une femme. Je comptais ôter cette robe, optant pour une cape dans le but de cacher mon visage cette nuit. J’ai déjà un pantalon en dessous.  »

Après tout je suis de rang espion, mais l'assassin serait plus juste, vu comment m’utilise ma reine. Et les robes, c’est bien pour plaire, pour l’action c’est juste pénible ! Et surtout, je vais ôter ce maudit corset qui me fait transpirer en m'étreignant les côtes sans aucune affection !

Je nous guidait vers l’appartement au cœur de la ville, plusieurs regards se posèrent sur nous et sur ma compagnie, étant bel homme et à la peau bien blanche – lui aussi devait être un homard sous le zénith – il attirait l’attrait de ses gitanes aux robes festives. Eh elles ont bien raison, si elles ne peuvent changer de menu à leur guise, cela ne coûte rien de regarder la carte et fantasmer sur les plats qui s‘y trouvent. Je lui coule un regard amusé et un sourire complice quand l’une d’entre elle maintient son regard un peu trop longtemps sur sa sature. Puis j'ai fini par lâcher son bras, pour prendre la clé et nous engouffrer dans le hall montant au troisième étage ouvrant notre lieu de résidence temporaire. Il va falloir faire quelques courses ou manger dans un restaurant, je suis plus encline à cette solution, pour voir l’animation de la ville et prendre la température du moment, après tout ça fait trois ans que les disparitions frappent la ville. Mais avant tout ça ! Je déposai ma valise dans le couloir des deux chambres, on choisira plus tard et je retire mes bottes.

« Je vais me rafraîchir. » fis-je en allant directement dans la salle de bain avec des changes et je revenu le visage frais par l’eau, ne portant plus de robe, un pantalon sombre d’aventurière laissant voir mes lames sur le côté, une chemise bouffante blanche, une ceinture « faux corset » sombre à la taille, avec des emplacement de lame bien cachés et j’avais en main une cape légère pour me cacher. J’étais pied nu, profitant de la fraîcheur de cet endroit… je pris un verre d’eau servi par cet homme charmant et le bue d’une traite le remerciant… puis alla dans le canapé. Oui là la bienséance, navré Nathaniel, j’ai les pieds en compote !

« Bon alors la mission. Depuis trois ans, il y a des disparitions d’adolescent et d‘enfant. Les autorités ont abandonné l’affaire faute de preuves. Ce qui est étrange est qu’on aurait retrouvé aucune trace d’effraction, même si certaine porte était verrouillée… des témoins parlent d’une petite musique les nuits des disparitions. Mais rien de plus. Comme souvent avec les mission de Nemo nous avons autant d’information que le contenue de l’armoire de la maîtresse principale du roi  ! » j’haussai des épaules sans aucune honte pour ce roi humain qui n’avait qu’une couronne trop lourde pour sa petite nuque de pervers. Bon Eva tu es trop franche, tu devrais te calmer...
« Pour traduire, nous allons galérer et rester quelques jours ici. J’espère que vous n’avez pas prévu d’événement importants. » enfin si c’est le cas c’est fort dommage pour lui. Je lui fis signe de venir s’il le souhaite et si l’éducation distinguée qu’il avait reçue l’empêchait de venir sans mon approbation.

« Concernant le fonctionnement, je reste votre référente à cause de mon rang et de l’expérience. Mais, vous êtes novice et donc vous devez apprendre, je ne vais pas vous tyranniser, je n’ai rien d’un petit chef...donc comportez-vous normalement, j’aime mieux qu’on se dise les choses je ne me gênerais pas pour le faire.  »

Voilà, et puis je ne suis pas une personnalité qui à besoin d’être leader je m’adapte à la personne en face de moi. Je suis l’objet obéissant et sans faille de ma reine, à la Ligue je suis une espionne agréable qui ne souffre pas de la hiérarchie cela me passe au-dessus… beaucoup de choses glissent sur moi pour être franche.

« Bien niveau aptitudes, je suis une sorcière … je maîtrise le sang, bon éviter de vous couper en utilisant un couteau, cela risque de m’exciter.  » je le regarda amusé avant de rire. « Je rigole. Étant espion, je suis assez doué avec les armes blanches et empoisonnées et je suis infirmière. » oui j’avais enfin renoué avec mon métier de base grâce à mon employeur, ce qui était largement mieux que vendre son corps, même si pour les missions, je devais parfois m’adonner à cela ou quand ma reine me l’ordonne.

« Et toi ? Mise à part être charmant ? » comme cela j’englobe ses pouvoirs s’ils en a et ses capacités, il peut en omettre sans avoir la gêne de ne pas me répondre, si cela le gêne. Eva… franchise…pauvre garçon, il à un cas devant lui !  

Nath + Eva

Octobre 1902 - belle journée au soleil

« Ici ou ailleurs, le soleil fait tout aussi mal sur des peaux blanches mon cher. » fis-je taquine tout en marchant avec lui dans les ruelles. Je suis bien du même avis concernant ma fluidité vestimentaire, donc je lui adresse qu’un rictus pétillant, allant sur ma description de ma tenue nocturne, auquel il n’en a rien à faire soyons honnête !

Satisfaite de notre petit logis du moment, je pars donc me changer et me rafraîchir et le rejoins sur le sofa toute pimpante de mon rictus agréable. Et c’est sous cette belle humeur que je lui fais un check up complet de mes informations. Y allant de mes petits commentaires qui ne semblent pas choquer ce noble, je venais quand même de parler de son roi ? Eh bien tant mieux, je n’ai pas la langue dans ma poche quand elle n’est pas dans la bouche de quelqu’un.

« C’est à nous de le découvrir mon cher ! » fis-je en levant els bras au ciel ainsi que mes épaules,  concernant sa question sur la musique. « Très bien alors. »

Oui il vaut mieux prendre ses dispositions avec les missions. Je lui fais même le topo pour qu’on soit d’accord sur notre fonctionnement, j’espère qu’il restera aussi souple, j’ai encore quelques aigreurs avec mon ancien novice… je ne pensais pas que cela allait m’atteindre, peut-être parce qu’à cet instant j’avais été attaqué par un bébé vampire, manqué de finir en plate résistance et qu’en voulant être sympa, il m’avait traité d’idiote ? peut-être …au fond ça ne m’empêche pas de dormir, c'est juste que ça a confirmé une chose : ça m’a gonflé … je ne me sentais pas en sécurité limite en danger avec un coéquipier ! la blague ! Il a eu de la chance qu’on ne m’ordonne pas de l’éliminer. De toute façon, s’il a fui la Ligue, on n’est pas des enfants de cœur, il va être retrouvé à un moment et hop aux oubliettes !

Je levai un regard amusé sur sa première réponse. « Oh je ne te sous-estime pas, je le constate et c’est très efficace sur les demoiselles rencontrées jusqu’à maintenant !  » bien il sait détecter les mensonges ? J’ai bien envie de lui en dire un.

« Ah vraiment ? Bien, ça me fait penser à mon grand-père, il prétendait qu’il pouvait lire dans l’eau de pluie. » bien entendu, je n’ai jamais connu mon grand-père, même pas ma mère … je n’étais que la jolie poupée de mon père adoptif et de ses amis.

« Tu n’as donc pas peur d’avoir une sorcière de sang avec toi ? » fis-je un peu interloqué, souvent mon pouvoir épouvante les gens ou même ils me demande une démonstration et ils ont encore plus peur.

Nath + Eva

Octobre 1902 - belle journée au soleil

Tiens c’est amusant cette voix qu’il prend quand il tente une séduction, on dirait un gros chat. C’est vrai qu’il a une petite bouille de félin, je suis certaine qu’il doit avoir les cheveux soyeux !

« Rho, voilà que tu joues sur les localisations ! Ici ou ailleurs, je deviens une crevette trop cuite … est-ce plus juste à tes oreilles ? Très cher » fis-je en minaudant.

Confortablement installé sur le sofa, la mission semble obscure comme toute en réalité, surtout sans informations plus claires. Mais ça, il s'en est malheureusement habitué. Peut-être que c’est le charme de partir à l’aventure avec un inconnu qui devient un connu ? Oui sans aucun doute. « Et on s'ennuierait. » fis-je en pouffant à sa petite remarque.

« Non, je ne trouve pas du tout … » fis-je en petite moquerie amusé à sa question ! Bien entendu que je trouve que tes charmes sont efficaces mon chaton ! Tu es super beau et en plus tu présentes bien ! Tu as la gueule du prince charmant que beaucoup de femmes ayant lu trop de livres de conte de fée aimeraient que tu endosses ! Et comme beaucoup d'hommes beaux, tu dois le savoir, en jouer et avoir l’égo qui va avec. Ce qui ne me dérange pas, pas beaucoup de choses me touchent de toute façon. Sauf son joli minois que ma foi de sorcière est très agréable à regarder. En tout cas, je lui ai servi un petit mensonge… j’attends avec une patience limitée son véridique et je dois dire qu’il m’impressionne, je ne suis pas mauvaise menteuse pourtant.

« C’est juste ! » un large sourire pétillant sur les lèvres j’en viens à me demander pourquoi il n’éprouve pas de crainte à mon encontre. Généralement les gens ont donc peur ou bien … me demande une démonstration.

« Ah ! Il est vrai que face à certaines, j’ai l’air un petit agneau. Tu n’es donc pas si novice que ça. » un autre bon point, quoique avec mon ancien novice, je dois dire que malgré son expérience de plusieurs siècles il avait été qu’un fieffé crétin ! « Non, mais évite de saigné, ça me rend un peu folle. » fis-je sérieusement en me levant. Avant de lui faire un clin d’œil taquin, signe que je rigolai. Même si au fond, je n’avais pas tout à fait tort, le sang m’attire et j’ai tendance à avoir une forme d’excitation malsaine en sa présence… j’ignore si c’est d’ordre mental ou bien mon pouvoir. Tous les sorciers de sang rencontrés en France avaient un grain… et comme je suis aux ordres de la reine des vampires, ça doit faire de moi quelqu’un d’un peu dérangé dans cette pratique sanguine. Peut-être bien… ou non. Enfin bon, il ne risquait rien avec moi.

« Je te propose qu’on aille aux différentes auberges ainsi qu’au marché nocturnes. Les gens y sont plus bavards. Quitte à payer quelques tournées pour délier les langues. » on aurait alors, trois heures à tuer ici… je pourrais me reposer de ma précédente mission et parler un peu avec ce bellâtre fort amusant.

Nath + Eva

Octobre 1902 - belle journée au soleil

Cela ne doit pas être très bon de manger trop cuit mon chaton ! Cependant, je ricane de manière mutine à cette jolie phrase pleine de sous-entendu. Coquin va !

« Hum, je vais surtout couiner sous la douleur. Cependant, cela ne gâche pas le goût.»

Tu veux goûter ? Je lui lança un regard pétillant, je ne vais pas le faire, il va me prendre pour une trainée. Enfin bon, la conversation allait bon train et cet homme use de sa langue ou plutôt de sa verve pour ronronner et laisser sous-entendre quelques phrases. Amusant. Il va être parfait ce soir, il va me charmer le bar tout en entier qu’il suffira de quelques rires et œillades chaudes pour quérir des informations. Très bien ! Je ferai ma cruche et avec l’arme fatale d’un beau sourire, le monde sera à nos pieds ! En plus, monsieur chaton est doué d’une grande intuition, peut-être une partie de poker avec le maire du village ? Cela serait cocasse.

Il ne craint pas mon pouvoir, une raison simple : il a de l’expérience dans le surnaturel ; dû moins il connait juste ce monde… quand au moins civilisé, il avait dû côtoyer quelques goujats comme mon ancien novice qui vous donne envie d’exterminer le monde magique. Bon, j’abuse sans aucun doute… remarque, vu ce que je lis en ce moment, quelque grimoire magique … Cela pourrait effrayer n’importe qui, pour ma part ça me fait rire. Je suis une sorcière, je ne suis pas là pour dessiner des pentacles et cueillir des fleurs ! Bref. De toute manière, je cache bien mon jeu et je ne compte pas être particulièrement effrayante sans raison.

« Merci, sinon la crevette qui va se faire manger, c’est toi !» je claqua des dents avec humour avant de lui proposer la suite du programme.

« Je n’aurais aucun mal à faire boire quelque gentleman. » après tout, mon premier métier était celui d’un catin … pas une des bas quartier, une plus luxueuse… avant que Jon Halley me propose un poste d’infirmière dans son entreprise me permettant de quitter cette condition d’objet à plaisir. Je n’en souffrais pas tant, je sais user de mon corps pour les objectifs de ma reine. Néanmoins, j’ai une forme de soulagement de ne plus côtoyer les bourgeois aux bourses trop pleines. De plus, j'aime mon travail d’infirmière, c’est mon élément. De plus, il y a de belles personnes, comme Amélia, une demoiselle toute chaude et toute joyeuse … elle a un sang un peu étrange, cependant elle est le genre de personne qui vous donne envie d’avoir une vie. Et de la vivre !

« Je dirais bien quelque chose de très culotté. Mais nous avons du travail. En route, moussaillons ! » je me leva d’un bon, j’allais dire « on va voir si tu sais me manger » hors c’est un peu tôt pour le rentrer dedans. je lui indiquait de venir. « j’ai uen folle envie de faire le tour du quartier, après tout mon cher époux, nous devons trouver notre petit nid ! Le maire nous conseillera… » je lui attrapai le bras, allons donc voir la mairie et quémander des informations sur ce village et sur les faits inexplicables effrayant tant les gens !

Une fois dehors, la mairie était facile à trouver et il y avait ma foi de petite adoratrice vampire … pleins de famille pleurer demandant une audience avec le maire. Si j’étais télépathe, j’aurais sans aucun doute aucun mal à lire leur pensée et découvrir qu’ils pleuraient leur enfant disparu… or, je ne le suis pas et ce n’est que de la déduction.

« Tu fais le charmant, je fais la cruche… hop hop… » je le lâcha avec un clin d‘œil malicieux allant vers une femme dévasté, pour la soutenir et faire la belle innocente.