(CHRONOLOGIE IRP) Avril - mai - juin 1902 (REGLEMENT) avatars réels format 200*320, 200 mots minimum, deux réponses par mois minimum, multicompte autorisé, plusieurs espèces jouables. Plus d'infos juste ici.
Occupation : Emmerdeur professionnel (tiens une galerie, divers activités secretes)
Age : Trop vieux (environ 3 500 ans)
Devise : I fuck you every day, every week, every month, every years! Finally I fuck you for the eternity!
Signes particuliers : Tatouage en forme de serpent a coté de l'oreille droite. Yeux de serpent, roux, porte des lunettes de soleil, cicatrice dans le dos (coup de fouet) et marque sur le torse. tatouage doré complexe sur le poignet gauche
alignement : Chaotique neutre
équipement : Voir journal
C'est tout moi ça :
Avatar : David Tennant
Pseudo : Ina
DC : Tristan/Ayln/Gordon (Anastasis)/Alexan/Evalyn
A quatre pattes, je relevai la tête vers le son… Tomoe était attachée au mur comme … un squelette à côté d’elle ? Charmant, on sait nous accueillir ici niveau décoration ! Je m’assis sur mes jambes … il faut que je vomisse. « Autant qu’une pâte à pain qui viens de se faire tripoter par le boulanger…» pas besoin de lui demander, elle était dans le même état… cela était une terrible évidence. Je plongeai deux doigts dans ma bouche, pour appuyer sur ma glotte et me forcer à hoqueter … cela était déplaisant… jusqu’au moment où mon estomac se contracta et je régurgitait plus loin… cela me brûla la gorge avec le gout détestable du venin… je me suis tenu au barreau, alors que mon corps tremblait sous l’effort, c’est vraiment un truc de barbare de vomir ! Bref… c’est là où je suis encore sous le venin. Qu’importe si ce n’est pas glamour, elle en a vu d'autres Tomoe et puis bon, là il fallait survivre. Et je sens, qu’on nous a pas mené ici pour nous faire apprécier l’hospitalité des FauSys. Au moins, le vomi allait tout droit dans la flotte nourrir … de drôle de créatures qui y rôdaient. Chouette, cela a l’air en plus… habité par nos gardiens ! Bon appétit !
Je m’éloignai des barreaux, m’adossant au mur où se trouvait Tome, j’avais du mal à me lever donc cela était assez… difficile donc je restais proche du sol… je remarque une chose… j'avais du mal à maîtriser mes pouvoirs, comme si le venin avait neutralisé la magie… a moins que non… hum, on devait avoir quelque chose sur nous ? Il faudrait qu’on se regarde tiens… je ne pouvais me douter qu’on avait tous deux une petite bestiole similaire aux sangsues qui nous neutralisait le flux magique. Elle était difficile d’accès, car proche de nos parties intimes, sur la veine de vie de notre cuisse. Et donc il fallait la voir avec son centimètre… il avait pleins d’hareng … une dizaine avec surtout mon copain le serpent avec sa sale gueule, il sifflait dans de l’intimidation mais il faisait pas le malin, son regard cherchait son ennemi sans savoir que je l’étais. Mon regard se figeait sur lui mauvais… j’avais mes lunettes dans ma poche mais je ne fis pas le plaisir à quiconque de les mettre, les toisant avec ce regard terrifiant. Oui, nous sommes réveillés et ta voix est bien vilaine… QUOI ?! Tu veux me bouffer car ton serpent va crever ? Pas déjà arrête de le monté… et va le soigner. Et puis, tu ne vas rien du tout faire avec la femme ! Si la peur avait pris Tomoe, je me suis fit la colère et j'ai laissé mes crocs sortir dans ma bouche, observant mon futur casse-croûte… tout je vais te couper en deux ! Et en plus on avait les commentaires des créateurs avec celui qui a le trident le plus précis qui calme tout le monde… le chef donc. Non, mais vous croyez que je suis consommable ? Et Tomoe elle va se faire la partouze version viol jusqu’à être enceinte ? Mais aller chier… j’émis un grognement féroce, ce qui agita le serpent…. Tu veux encore en découdre ? Je me transformait en dragon me projetant sur les barreaux qui vibrait avec force et ma queue s’infiltra au travers allant faucher les autres FauSy qui eurent le bon goût de reculer dans l’eau avec vélocité… le serpent se jeta sur moi et je lui enfonça ma queue avec cette pointe sanglante dans la gorge avant qu’il me crache sur la gueule ! Ouai, je suis super agressif mais il y a de quoi !
« Vous mangerez ce serpent pour votre buffet… enfin si je ne vous ai pas dévoré avant ! » fis-je d’une voix tout aussi bourré d’intimidation inspirant l’effroi… je m’agitais pour casser ou soulever les barreaux mais j’étais encore trop faible … et soudainement les dit barreaux, furent parcouru d’électricité… je recula en feulant … le regard mauvais. « Si tu le dresses tu auras un serpent plus redoutable ! »
« Deux des nôtres sont déjà morts. Qu’on le fasse accoupler avec quelques femelles, avant de le dresser ou de le manger… tu auras ta femelle et sa monture ! » Je ne suis pas une monture et mon grognement en plus de mon manque de respect pour ma douleur, quand j’abttie ma queue sur les barreaux tremblants, les firent hater plus vite leur futils conversation ! « Mettez les membranes ! Et organisons le jugement ! »
Jugement ? mais bordel c’est vous les agresseurs bande de poissons pas frais !
Des membranes électriques parcourir les barreaux, nous cachant la vue… Voilà une prison très efficace…. Mais il allait falloir plus… avec ou sans ombre, je vais vous buter ! Putain, je me sens faible encore… c’est terrible… comme si quelque chose me pompe, mon énergie ou ma magie.
Le petit comité avait disparu et je tournai ma tête vers Tomoe… avisant ses chaines, pour les rompre avec ma mâchoire… arrachant le tout du mur. Et je repris forme humaine avec cette nausée inattendue… je me rattrapa au mur, me laissant glisser contre.
« Sympa la soirée pique-nique… j’ai le chic pour t’emmener dans des endroits inattendus et dangereux. » cela était presque ironique… moi et mon côté chat noir quoi ! « J’ignore si, c’est le venin… mais j’ai du mal à contrôler ma magie. » et je me sens tout nu…bon je suis trempé et blessé, mes blessures étaient en train de se régénérer mais je sentais ma chemise coller. J’étais assis, les genoux relevés et le dos contre cette pierre humide, la tête aussi. Je me suis trop agité.
missives : 365
ici depuis le : 30/03/2020
Espèce : Esprit du Renard Lumineux
Ligue : Intronisée - Chasseur
Occupation : Propriétaire d'un Salon de Thé - Le London’s Chashitsu
Age : 743
Devise : Vous pouvez empêcher votre adversaire de vous battre grâce à la défense, mais vous ne pouvez pas le battre sans prendre l'offensive.
Signes particuliers : Yeux noirs, cheveux noirs, 165cm, silhouette taillée en graine, souvent habillée comme une lady anglaise tout ce qu'il y a de plus classique. Sous sa forme de renard : pelage blanc et fourni, petit modèle, huit queues.
Tomoe fit une petite grimace. Ils étaient tous les deux dans un sale état manifestement. Cela allait compliquer les choses, et l’arrivée de toute la bande de morues annonça plutôt la couleur. Le front perlé de sueur, elle avait regardé Lucian se faire vomir. Elle se souvenait que ce dernier avait reçu le venin du serpent en plein dans le gosier et c’était sans doute la bonne solution. Jamais jusqu’à présent, elle ne l’avait vu aussi faible, et elle même n’en menait pas large.
Le discours des créatures n’aida pas Tomoe à se rassurer. La nippone, d'ordinaire si calme, se sentait vulnérable. Elle essayait de faire bonne figure, en affichant une mine résolument neutre, mais cela ne la sauverait pas longtemps. C’était juste de la fierté que de montrer qu’elle n’avait pas peur. Tout simplement. Lucian fut très agressif, repassant sous sa forme de dragon pour tenter de percuter les barreaux et de planter le serpent de sa queue hérissée de lames. Avec un certain succès, très vite calmé par le côté électrique de la cage. Mais comment faisaient-ils ? Tomoe avait qu’une envie, allait en découdre elle aussi. Sauter dans le tas et découper en rondelles ces poissons de malheur ! Mais elle était là, impuissante, à essayer de s’extraire de ces chaînes qui ne faisaient que l’entraver plus encore, lui écorchant la peau salement.
Ces créatures étaient ignobles. Elles étaient probablement intelligentes, mais leur culture et leurs moeurs en faisaient des sauvages. Cela n’était pas rassurant pour la suite. Tomoe avait envie de matérialiser une lame d’air et de l’envoyer sur le chef pour le tuer. En visant bien, elle pouvait peut-être l’atteindre au travers des barreaux. Aussi se concentra-t-elle pour essayer de canaliser son pouvoir malgré son état physique. Sauf qu’à part un mince filet d’air qui agita légèrement ses cheveux, rien ne se produisit, pourtant l’effort avait été conséquent, au moins aussi conséquent que sa motivation à ne pas finir au menu de ces créatures, que ce soit sexuellement ou gustativement.
Les FauSys firent tomber des membranes sur les barreaux électrifiés, cachant la vue sur ce qui se passait de l’autre coté. Lucian revint vers Tomoe, découpant les chaines avec méthodes de ses dents acérées. La jeune femme n’aurait pas aimé se retrouver entre ce genre de crocs là. Il arracha plus qu’il ne coupa, et si Tomoe gardait une menotte au poignet, elle ne s’en formalisa pas. Le bout de chaîne qui pendait pourrait toujours lui servir d’arme. En tout cas, elle était plus sereine maintenant qu’elle pouvait être libre de ses mouvements. Pourtant, elle n’était pas très vaillante sur ses jambes. Elle trouva cependant la force de venir soutenir Lucian contre le mur, l’aidant à glisser tout contre. Elle se laissa choir à son tour à ses côtés, les jambes flageolantes.
« D’habitude je suis prévenue. » tempéra-t-elle pour essayer de dédramatiser un petit peu. Elle ne lui en voulait pas le moins du monde. Ces créatures avaient agi par opportunisme avant toute chose. « Il était impossible de savoir que nous allions rencontrer ce genre de peuple dans ce genre d’endroit... » Elle lorgna sur les alentours, s’attendant à les voir revenir. Quelque part, être enfermée, avec des barreaux électriques entre le serpent, les poissons, et eux, donnaient un petit côté rassurant que tous prisonniers devaient ressentir, jusqu’à ce que la porte pivote en grinçant sombrement. Tôt ou tard, c’était ce qui allait se passer, quand le jugement serait terminé, ou qu’ils les emmèneraient se faire juger si c’était ce genre de chose qu’ils pratiquaient.
« Je n’arrive pas à contrôler ma magie non plus. Mon lien avec l’esprit est très flou et perturbé. Mon calme intérieur est chamboulé. Je ne sais pas non plus si c’est l’effet du venin ou si ce lieu y est pour quelque chose. » affirma-t-elle.
Elle ramena ses genoux contre son torse et enroula ses bras autour d’elle. Elle était trempée, et elle commençait à avoir froid.
« Reposons nous pour essayer de récupérer des forces. Nous ne pouvons que patienter en attendant qu’ils jouent leur prochain coup, et qu’ils nous laissent une opportunité de nous échapper. Pour l’heure, nous sommes bel et bien prisonniers et il va falloir l’accepter. » Elle préférait ne pas songer à ce qui l’attendait ensuite. Elle pencha la tête sur le côté pour l’observer de profil, l’arrière du crane toujours posé sur la roche humide.
« Je t’ai confié que j’appréciais vivre l’instant présent au cas il s’agirait du dernier. Nous sommes typiquement dans une situation qui justifie ce crédo que je m’impose. Du coup, histoire de ne pas partir avec des questions, j’aimerai savoir. » dit-elle avant de demander avec tout cet aplomb tranquille dont elle était capable : « Est-ce que tu me fais la cour ? »
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Je ne sais pas si c’est le venin ou autre chose… mais je ne suis pas bien du tout et Tomoe non plus. Cela me déplait au plus haut point. Surtout quand on doit finir à un menu, certes à deux tables différentes mais il est hors de question qu’on soit un quelconque plat ! Ils avaient parlé de jugement soit, si on est convié, il va falloir défendre notre bout de gras et je n’avais pas la langue engourdie ! Putain… je m’étais déjà fait torturer fin août avec les deux Hennessy, attaqué par la soif de sang d’Alva et je n’avais pas des masses envie de me faire découper par des thons pour être le sushi du jour ! Bref, si on n’est pas au jugement, il faut qu’on réserve nos forces pour évacuer se venin. Peut-être qu’il bloque la magie ? Cela me semble aberrant, car cela avait déjà un effet sur notre corps. Enfin bon, Tomoe me soutenu comme elle pu et on s’écroula côte à côte contre cette roche humide et grise.
« Non, mise à part une légende à la con … mais ce n’était pas spécifié … toujours se méfier des légendes farfelues. » dis-je pour l’amusement un peu amer. Je n’avais pas spécialement eu envie d’aventure de ce type, qui à envie de ce genre de chose ? Je suis taré mais là… merci plus tard. J’entendais les gargouillis du serpent qui rendait son souffle avec souffrance et seul. Bien fait sale bête ! cela ne me mettait même pas de meilleure humeur. J’ai des envies de génocide là… mais ça pulse jusqu’au bout de mes doigts. Je vais te leur foutre une apocalypse dans la gueule au triton des rivières ! ça va els calmer définitivement ! Ouai, je suis énervé… mais bien bien ! Et cette fois, je n’ai personne pour me retenir, ça va être un massacre ! Là, cette idée, me file du baume au cœur.
Et voilà que je ne suis pas le seul à être impuissant coté magie… bah putain, heureusement que je peux encore bander sinon j’aurais l’air d’une fiote ! bah voilà, je suis tellement en rage que je pense à des conneries tiens !
« Nous voilà avec un sacré défi. Sans magie. » dis-je pensif, en pleine réflexion sur la suite, il fallait qu’on gagne en force et qu’on ne se laisse pas abattre ! Enfin moi, je me suis toujours battu et c’est un samouraï, même si elle se jette dans la mer après la mort de son maître ! le sien (et je ne sais pas qui c’est) est pas mort donc hop hop du nerf ! « Nous sommes d’accord. Gardons nos forces, le temps que ce maudit venin évacue notre corps et qu’on avise si c’est ça qui bloque nos pouvoir ou bien autre chose. » dis-je en complétant, appréciant qu’elle ait la même réserve que moi. « On ne le restera pas longtemps. » là c’est ma fierté combiné à ma colère qui parle. Je suis patient et quand je suis enragé, vaut mieux ne pas être sur mon chemin.
Je soupirai, voyant qu’elle tremblait un peu. Je ne suis pas si trempé, ou j’ai séché un peu plus qu’elle, je ne sais pas trop… mais on est mouillé et il faudrait retirer nos fringues pour s’enrouler dans des secs et pas grelotter comme des cons. Mais, on n’avait rien. Dès qu’elle reprit la parole sur son crédo, je tournai la tête vers elle… Tu veux vivre l’instant présent de prisonnière dans une cave humide ? Cool… et… comment partir avec des questions ? Oh voyons Tomoe… nous ne sommes pas condamnés quand même. Bion, vas-y dit moi ta question, je sens que ça va être un truc sur moi… ah non ? C’est plus blague ? j’eu un petit rictus amusé et surpris. Elle me tue… remarque ça aurait pu être un truc du genre « je veux baiser avant de crever » ou une connerie autre …
« Nous ne sommes pas condamnés... » et puis bon, moi je suis difficilement tuable ! Et si je lui réponds oui, elle me file un râteau ? j’en doute avec le fait qu’elle se soit fait plus jolie que d’habitude. Et ça gâche un peu tout le sel, de répondre franchement ! « Je crois que tu connais déjà la réponse. » « C’est vrai, tu as raison sur les deux points. » dit-elle en reportant son attention devant elle. Elle se mit à rire. « Et dire que nous devions manger du poisson ce midi, et ce sera peut-être l’inverse. J’espère au moins qu’ils sauront nous cuisiner comme je l’avais cuisiné. » Bien si tu sais, alors pas besoin de gâcher le sel de cette histoire. A voir si tu vas y répondre de manière plus franche. « Tu vas finir en truite pondeuse. C’est moi que tu vas manger… j’espère qu’il ne vont pas me mettre du gingembre dessus … je déteste ça… je suis certain d‘être bon avec une sauce au basilic ! » petit clin d‘œil à la créature au cul de serpent. « Ils vont sûrement t'assaisonner avec ça oui. » répondit-elle avec un sourire. « Mais j’espère plutôt finir comme une carpe, que comme une truite. Cela me plairait un peu plus. » Elle secoua la tête, ce petit échange informel semblant lui faire du bien à l’esprit.
« Les carpes finissent en dragon en remontant les cascades. » fis-je avec un rictus plaisant. « Un dragon renard. Qui pourrait résister ? » s’amusa-t-elle. Elle ne devait pas se prendre au sérieux. Mais l’image est très belle je doit l’avouer, un dragon poilue !
« Un dragon touffu avec plein de queue… la classe. » « Tellement la classe. J’espère que tu ne seras pas jaloux. » blagua-t-elle. « Terriblement… j’ai toujours voulu avoir de la fourrure pour avoir chaud ! » « Si seulement je pouvais quand c’est utile ! » dit-elle en secouant la tête, et d'enchaîner pour leur souhaiter du mal : « Mais ce qu’ils ne savent pas... » ajouta-t-elle en tournant finalement son regard sombre vers moi . « C’est que je suis un fugu, et qu’ils vont tous crever en me mangeant après m’avoir fait pondre leurs immondes rejetons. »
Je ricanai de plus belle. Pas mal cette petite référence. « Si tu veux bien, on va prélever ta poche de poison avant la version sushi. Je rêve de leur cracher au gosier… juste retour des choses. » je tourna la tête vers ses geste tremblant… ouai, ça commence à piquer, si on était pas si mouillé, on aurait pas froid. « C’est dommage pour l’air… tu aurais pu nous sécher… Je suis aussi trempé que toi, je ne pense pas te tenir aussi chaud qu’un loup garou. Mais ça sera déjà ça. »
« Compte sur moi pour leur cracher dessus alors. » Elle opina gravement du chef. « Je suis contrariée de ne pas arriver à toucher mon esprit. Peut-être que si je me concentre sur lui, il pourrait me guider sur ce qui coince. Et… qu’est-ce que tu entends par ce serait déjà ça ? » questionna-t-elle en s’efforçant de ne pas claquer des dents.
Elle n’avait pas compris ? C’est une blague ? Ou elle est à mille lieux de comprendre l’invitation à se coller si besoin. Incroyable ça…. « Essai la méditation ? Enfin si quelque chose bloque notre magie, il doit avoir une barrière entre vous deux. » dis-je en réfléchissant. « J’en reviens pas que je dois t’expliquer… si tu as trop froid, tu te colles à moi. Ça sera un partage de chaleur. On n’a pas de couverture ni de feu, pour retirer nos vêtements et se changer au sec… donc on fait avec les moyens du bord. » dis-je pragmatique. Je ne suis pas vraiment câlin non plus mais bon. Je commence à avoir froid et je suis plus résistant aux fortes chaleurs que l’inverse. « Ah... » dit-elle en me toisant un peu plus. « J’avais bien compris, mais je préférai que ce soit clairement dit… Ma culture… Enfin… Ma fierté me pousserait à me laisser mourir de froid. » Je roulais des yeux… mourir de froid ? Il faut quand même être… bien japonais ! « Tu as raison, une glace de Tomoe c’est sûrement un bon dessert ! » dis-je avec cynisme. « Avant de mourir de froid, tu as le droit de venir te coller à moi, si tu veux te venger des morues ! »
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Cette petite discussion informelle avait le mérite de calmer le froid, de calmer la sensation de vulnérabilité liée au poison du venin, de calmer l’esprit envahit par la perspective de se faire violer pour procréer. Tomoe était entrée dans le jeu de Lucian en blaguant un peu, comme un bon soldat l’aurait fait avant d’aller risquer sa vie. Elle avait sans doute fait capoter tout le naturel de la petite cour discrète qu’il avait commencé à lui faire, mais elle espérait, en n'ayant pas rebondi plus que ça, qu’il continuerait un petit peu. De toute façon, elle lui avait envoyé quelques messages aujourd’hui, aussi discrets que le parfum qu’elle portait. Tout comme elle n’avait pas cherché à le dissuader après lui avoir demandé.
Le froid, le froid ne lâchait jamais vraiment. Il continuait de s'insinuer de façon pernicieuse dans les chairs sans crier. Quand il criait, il était trop tard. Si seulement elle pouvait se changer en renard, elle serait mieux protégée par son pelage polaire. Quelque chose bloquait sa communication avec son esprit, et cela la rendait folle. C’était comme si soudainement, on lui enlevait le bras gauche et qu’elle devait se débrouiller pour vivre sans, sans préambule.
Elle se sentait capable de résister au froid cependant. Elle était mouillée, mais tôt ou tard, ça séchèrait et ça irait mieux. Il fallait juste patienter en attendant que ça aille mieux. Qu’ils aillent mieux. Que le venin cesse de les tourmenter. Avec leurs pouvoirs respectifs, ils ne feraient qu’une bouchée de ces créatures aquatiques. En plus, Lucian était un Mizuchi, l’eau était son domaine. C’était un peu moins vrai pour elle. Cependant, ce dernier avait une idée pour se réchauffer. Une idée vieille comme le monde finalement, que Tomoe préféra clarifier. Cela la gênait de se coller à lui, surtout après lui avoir demandé s’il lui faisait une cour discrète ou non. N’était-ce pas une façon de lui dire qu’elle se livrait à elle ? N’était-ce pas une façon de se livrer ? Non, c’était surtout de la survie, rien de plus. Le cynisme de Lucian la heurta plus qu’elle ne voulait le croire. Elle se sentait faible, et maintenant elle se sentait nulle, encore qu’elle hésitait avec un sentiment d’agression, certainement mal placé il fallait le reconnaître.
Sa fierté lui commandait de trembler en silence en attendant que ça passe, et elle sentait poindre l’envie de s’engueuler avec lui, un peu comme toute à l’heure. Décidément, cette journée mettait à mal sa façon d’être ! Elle opta pour une pirouette : « Si tu as si froid que ça, tu peux venir te coller à moi. » Et voilà toute l’expression de sa fierté. Elle libéra ses genoux pour pouvoir écarter les jambes s’il venait contre elle ou non.
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Je n’aurais pas dû faire du cynisme, mais bon c’est tellement con de se laisser mourir de froid alors qu’on a autre chose à faire ! Bordel… parfois c’est agaçant ce genre de mentalité. Et je suis une tête de cochon. Et puis, elle avait une paire de sentiments tout aussi con qui gravitait en elle… putain j’avais envie de la secouer là … et en plus, je sentais la colère en elle et ce n’est pas bon, ça m’excite ce genre d’émotion, ça m’attire et j’avais bien envie d’éclater aussi… car je suis frustré d’être ici avec des morues qui veulent me bouffer et te sauter avec leur … putain ils ont un pénis ? Genre ? Les poissons ? Berrrrk.
Et bien sure en bonne casse-noisette… chose que je découvrais et je retire le nombre de fois, où je pense « que j’aime els casse couilles sauf Tomoe qui sort du lot », voilà si j’avais un doute de pourquoi, je la trouvais attirante, je sais pourquoi ! Je suis un détecteur à chieuse ! Elle prit le culot d’ouvrir ses cuisses et de changer mes paroles… je secoua la tête. Je pourrais encore continuer à dire non, j’avais froid mais cela était gérable… mais elle non. Elle tremblait vraiment.
Énième soupir … si tu es capable de faire ça soit, je peux te laisser… mais hors de question. Ce n’est pas ton heure petite butée de japonais. Je me levai, m’accrochant aux parois de la pierre … et je me transformai en dragon, m’enroulant sur moi-même avant de faire de même avec ma queue sur Tomoe et l’attirer dans mes anneaux en milieux et serrant un peu l’espace autour de ma tête et de son corps. De cette forme, je n’avais pas les fringues trempées, et puis… je ne lui cédai pas car j’ai cet esprit de contradiction et elle m’avait gonflé. J’ai gagné un point ! A celui du plus con tu gagnes mais à celui de la raison… c’est moi ! Elle est où ta sagesse ? Dans ton cul ?
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C’était plus la colère et la fierté qui animaient la japonaise pour le moment, tant et si bien qu’elle écartait les jambes dans son kimono robe sans vraiment se rendre compte qu’elle s’exposait. Heureusement pour elle, Lucian semblait contrarié de sa réplique, comme son soupir le lui indiqua. Tant mieux, il n’allait pas continuer à croire qu’elle ne pouvait pas se débrouiller comme une grande !
Hum ? Allait-il venir ? Elle en doutait, d’autant plus quand il se leva, le pas hasardeux et l’équilibre précaire, compensés par la paroie qui lui offrait un bon soutien. Soudainement, il se transforma en dragon. Vraiment, ce n’était pas juste. Pourquoi est-ce qu’elle n’y arrivait plus elle ?! Néanmoins, elle ne comprenait pas sa démarche, jusqu’à ce qu’il s’enroule autour d’elle pour la coincer au centre de sa posture. Elle n’avait aucun moyen de se libérer.
Elle poussa un soupir profond elle aussi, mais curieusement, le fait qu’il ne soit pas sous sa forme humaine l’incita à mieux accepter ce contact physique. Sans rien dire, elle se força à se détendre, et à profiter de la chaleur que la proximité enveloppante lui procurait. Elle pourrait ainsi essayer de communier avec son esprit pour essayer de savoir ce qui pouvait clocher.
Il lui fallut un certain temps parce que bon… elle boudait de base et ce n’était pas le meilleur état d’esprit pour se détendre et méditer. La chaleur aidait cependant et bientôt, elle se sentit dériver, les yeux fermés, bien calée dans les anneaux de Lucian. Par des exercices de respiration, elle se força au calme, voyageant depuis ses extrémités pour revenir vers son centre, s’imposant à l’harmonie, au relâchement, et à l’instant présent. Il lui fallut du temps pour trouver le chemin vers son esprit. Ce dernier était enfermé dans une cage derrière une multitude de sceaux, et elle n’arrivait à y pénétrer que quand elle était sur le point de mourir. Sinon, elle était condamnée à l’observer depuis l’autre côté des barreaux. De fois, elle se demandait si elle ne pouvait pas libérer cet esprit en brisant les sceaux, mais les inscriptions dessus le lui défendaient.
Son renard n’était pas bien. Lui qui était si gros, si énorme comparé à elle, était recroquevillé sur le flanc, gisant sur le côté comme une bête à l’agonie. Et pour cause, une immense sangsue était collée dans son pelage. Tomoe approcha des barreaux et tenta d’appeler son camarade de toujours. Il lui fallait lutter, se défendre, mordre, déchirer cette sangsue !
Mais rien à faire. Elle n’arrivait pas à le stimuler. Elle rouvrit les yeux, revenant dans le moment présent sans trop savoir combien de temps s’était écoulé. « Une sangsue le parasite. C’est pour ça que je n’arrive pas à utiliser mes pouvoirs et que je suis séparée de lui. » « On en a une sur nous et c’est une métaphore pour dire que quelque chose lui pompe l'énergie ? » fis la voix plus sombre de Lucian sous cette forme. « Aucune idée… Je ne sais pas si c’est le venin ou si nous avons effectivement quelque chose sur nous. S’inspecter ne mangera donc pas de pain et éliminera une des hypothèses. Si tu veux bien me laisser un peu de place pour que je puisse le faire. » dit-elle pragmatique, son ton franc était dénué de la colère boudeuse dans laquelle elle s’était plongée. Elle avait un objectif, elle avait un peu plus chaud, elle reprenait du poil de la bête. « Bien, ça ne coûte rien et nous avons que ça à faire. » Je desserre mes anneaux, pour lui laisser un vaste espace, mon corps servait juste de barrière. Je profita pour regarder les quelques blessures qui se referment sur mon corps. C’est en bonne marche ça. La jeune femme acquiesça. En effet, il n’y avait pas trente six choses à faire dans l’état actuel des choses. Elle se leva pour commencer par s’inspecter sur les zones apparentes. Ses bras, ses jambes, son décolleté, elle se passa les doigts derrière les oreilles, et dans son dos, cherchant une aspérité, quelque chose de flasque, quelque chose de louche, qui pourrait lui dire qu’il y avait quelque chose sur elle. « En tout cas, s’il y a quelque chose sur nous, c’est bien accroché avec tes changements d’apparence. » observa-t-elle. Avant de passer aux zones qui n’étaient pas spécialement visible, Tomoe proposa : « Est-ce que tu veux bien regarder dans mes cheveux ? » Elle ne serait certainement pas à l’aise avec ça, mais… l’idée d’un parasite semblait la motiver un peu plus que l’idée d’avoir froid.
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Signes particuliers : Tatouage en forme de serpent a coté de l'oreille droite. Yeux de serpent, roux, porte des lunettes de soleil, cicatrice dans le dos (coup de fouet) et marque sur le torse. tatouage doré complexe sur le poignet gauche
alignement : Chaotique neutre
équipement : Voir journal
C'est tout moi ça :
Avatar : David Tennant
Pseudo : Ina
DC : Tristan/Ayln/Gordon (Anastasis)/Alexan/Evalyn
Et je ne me formalisais pas de la toucher, alors dans un nuage d’ombre je revenu humain et j’étais plus sec, les ombres me séchaient. Je passai derrière elle sans rien dire, commençant à fouiner dans sa chevelure … si c’est dans nos cheveux… je vais être K-O si elle doit me farfouiller le crâne ! Mauvaise idée. Je sentis soudainement, quelque chose de moue et gluant, j’eu une petite moue… mais soudainement… La membrane se leva et je me tenais près… le venin était plus présent dans mon corps et je sentais mes muscles revenir plus opérationnelle tout comme ma vitalité… en revanche niveau magie niet. Et ce qui se fit de l’autre côté n’était nulle autre que nos amis. Celui qui avait abîmé le serpent de sa vie (il doit bien le pomper le saligaud) était mécontent. Tu as perdu chouchou ? Et c’est la femelle qui voulait des coups de reins qui s’avança et parla… Et une lance se jeta sur nous, je poussa Tomoe évitant le projectile… on nous séparaient ? Je grognai avec une férocité qui fit reculer le petit comité et je vis l’électricité parcourir les barreaux. Si tu penses que ça me fait peur de me prendre un coup de jus…avec cette connerie je n’ai pas pu voir ce qu’elle avait dans les cheveux.
« Le jugement a été rendu. Ta servitude n’a pas trouvé preneur. Mais tant que ta femelle n’est pas enceinte tu vivras pour féconder des guerrières… et dès que son ventre sera rond, tu seras honoré pour l’Yrdya, sentence d’avoir tué les nôtres et nos protecteurs. » elle avait presque l’air navré en disant ça la bougresse. « Et dès lors, tu seras le met d’une grande fête. Tes attributs masculins seront un aphrodisiaque suffisant pour organiser la « Yrdya ». » l’autre me toisa d’un air mauvais, c’est quoi cette Yrdya ? la partouze des poissons ? La femme regarda Tomoe. « Tu seras plus féconde et tu nous offriras de nombreux guerriers. Qu’ils soient de notre race ou ceux de ton serpent. » C’est une blague ? Je secouai la tête… ils vont tous souffrir, ça va me faire les pieds et ils avaient tous des âmes… ils ne savent pas qu’ils ont en face. Et ils ne le sauront pas vraiment quand leurs têtes vont sauter.
« Vous nous prenez pour vos poulinières ? Je vous conseille de nous relâcher prestement. Si vos petites gens, n’avaient pas eu la bonne idée de nous attaquer ils seraient ici à festoyer de vos poissons. Or, ce n’est pas le cas et si vous ne voulez pas être à mon menu. Faites preuve d’un peu plus d’intelligence que vos compatriotes. » j’étais sombre et convainquant puisque ma voix était plus profonde en démon. Je sens une vague certes de peur mais aussi de satisfaction. Celui qui avait lancé son trident était apparemment le chef et ricana avec contentement. Je n’aime pas quand les gens aiment quand ils se font menacer, c'est des gros masos ou parce que justement ils trouvent ça cool…
« Nos nouvelles générations iront reprendre nos lacs d’antan ! Avec pareille rage ! ta chair transmettra cette férocité à nos guerriers ! » C’est quoi ce bordel ? Ils font comme les Chinois ? ils croient aux vertus de bouffer tel ou tel organes pour des prestations meilleures ?
missives : 365
ici depuis le : 30/03/2020
Espèce : Esprit du Renard Lumineux
Ligue : Intronisée - Chasseur
Occupation : Propriétaire d'un Salon de Thé - Le London’s Chashitsu
Age : 743
Devise : Vous pouvez empêcher votre adversaire de vous battre grâce à la défense, mais vous ne pouvez pas le battre sans prendre l'offensive.
Signes particuliers : Yeux noirs, cheveux noirs, 165cm, silhouette taillée en graine, souvent habillée comme une lady anglaise tout ce qu'il y a de plus classique. Sous sa forme de renard : pelage blanc et fourni, petit modèle, huit queues.
Tomoe devait reconnaître que de se faire gratter la tête était pour le moins agréable. Elle en avait fermé les yeux pour se concentrer sur les doigts dans sa tignasse fine et longue. Elle adorait faire ça à sa fille quand elle était plus jeune, et cette dernière lui rendait toujours la pareille ensuite par mimétisme, ce qui lui donnait toujours quelques frissons agréables. Elle en aurait presque eu là tout de suite si la membrane ne s’était pas levée, mettant fin à l’inspection de Lucian. Et plutôt brutalement s’il vous plait parce qu’ils leur lancèrent un javelot ou une lance. Tomoe fut écartée du chemin de l’arme de jet par son compagnon d’infortune.
Les poissons informèrent les deux prisonniers de leur jugement. L’idée de la mettre enceinte était donc retenue. La peine serait physique. Plusieurs viols, le résultat de ces viols, puis ensuite… Ca recommencerait certainement pendant que Lucian se ferait bouffer. Seulement voilà, elle ne comptait pas se laisser faire.
Dans la culture chinoise, et plus largement asiatique, les aphrodisiaques étaient monnaie courante. Tomoe ne s’en offusqua pas vraiment. Elle comprenait le principe et y adhérait presque. Seulement, comme ils étaient concernés, et que lesdits aphrodisiaques étaient “humains”, c’était problématique. Si la corne de rhinocéros était un mets recherché pour ses propriétés soi-disante érectile, les couilles de dragon devait l’être d’autant plus !
Elle laissa le soin à Lucian de parlementer avec eux, ou plutôt, de les menacer. Attitude tout à fait normale, cependant, elle avait retrouvé son calme. Tomoe fit demi-tour, et elle se pencha pour ramasser la lance. Cette fois, elle avait une arme à opposer, et pas de serpent pour l’endormir.
« Celui qui va me violer va devoir y mettre les formes. » « Ces enfants seront aussi de fiers guerriers ! Grande a été la prise aujourd’hui !! » rugit le chef bien content. «« Et celui des nôtres qui t’aura terrassée sera d’autant plus digne de faire pénétrer sa semence en toi, vos bébés seront forts. » Tomoe avait déjà pris un deuxième époux en se battant contre lui. Waada Yoshimori. Ses quatre enfants étaient de lui. Sur le principe, l’idée était sans doute bonne, et résonnait d’une certaine façon dans l’esprit de la guerrière qui ne jurait que par l’honneur et la force. Mais dans les faits, étant donné qu’elle était concernée, elle n’avait pas spécialement envie de finir en poulinière, pour reprendre l’expression de Lucian. Calme et déterminée, elle ne releva pas, et se contenta d’assurer sa prise sur la lance qu’elle avait récupéré. « Comme je vous l’ai dit, il va falloir le mériter. » L’idée de lancer la lancer dans la trogne du chef était plus que séduisante, mais si elle se ratait, elle perdait son unique arme actuelle. Elle devait faire preuve de sang froid et d’impassibilité. Son non verbal devait être totalement neutre et tranquille pour montrer qu’elle n’avait pas peur. Cela les ferait peut-être douter. Si leur adversaire transpirait la confiance dans pareille situation, c’était qu’il y avait anguille sous roche, non ? La guerre psychologique avait commencé.
missives : 1797
ici depuis le : 03/03/2020
Espèce : Cauchemar de la colère
Ligue : Non
Occupation : Emmerdeur professionnel (tiens une galerie, divers activités secretes)
Age : Trop vieux (environ 3 500 ans)
Devise : I fuck you every day, every week, every month, every years! Finally I fuck you for the eternity!
Signes particuliers : Tatouage en forme de serpent a coté de l'oreille droite. Yeux de serpent, roux, porte des lunettes de soleil, cicatrice dans le dos (coup de fouet) et marque sur le torse. tatouage doré complexe sur le poignet gauche
alignement : Chaotique neutre
équipement : Voir journal
C'est tout moi ça :
Avatar : David Tennant
Pseudo : Ina
DC : Tristan/Ayln/Gordon (Anastasis)/Alexan/Evalyn
Et cela marchait, les poissons avaient beau jubiler ils n’étaient pas aussi téméraires que cela. Ce fut la femelle qui montra plus de courage et lui afficha un rictus plein de dents fines et peu séduisante. S’ils nous trouvaient dignes de leur faire des gamins et de buffet version partouze pour moi… eh bien soit mais ça ne sera pas sans conséquence. Tout dans mon attitude transpirait la nature dangereuse qui m’animait en j’allais même jusqu’à mettre une lueur malsaine d’envie de les dévorer tous… cela leur rappelait qu’ils n’étaient peut-être pas en haut de leur chaîne alimentaire. Il fallait, juste trouver une manière de sortir de ses barreaux électrifiés et je savais que sous forme de serpent, j’aurais du mal, car j’allais me prendre une décharge puissante... j’essayais d’évaluer l’endroit de l’autre côté, de voir un mécanisme ou autre… il avait cette poulie non loin, un coup de javelot serait pertinent. Je me déplaçai tel un lion dans cette cage de pierre, allant vers Tome, m’apprenant à lui parler quand… sous un soubresaut de toute et de peur, le chef leva la main et sous lui un serpent violet de plus petite taille apparue et cracha pas un venin mais un nuage dans notre prison … cela stimula quelque chose à l’arrière de notre crane et … on perd connaissance, comme si ce qui nous pompait la magie avait aussi envoyé des toxines en défenses à ce nuage et nous étreindre. Voilà, une relation tout à fit intéressante mais pas aidante pour notre cause.
Si avant, je me sentais mal comme une pâte à pain… là ça allait, plus sonné et la vision floue. Il va falloir que je leur vole leur recette de somnifère ! Mais, cette fois, je sentais un sol … soyeux ? Je me redressai avec une petite nausée … le regard aussi net qu’une taupe… je porta ma main à ma tête, sentant des odeurs… fleurales et marines qui ne me plaisaient guère, quoique certaine me rappelait la cyprine et je dois avouer que ça pouvait être excitant dans un autre contexte. Quand mon vison est revenu, je constatais avec une certaine aigreur que nous avions changé de prison… mais du genre grand luxe et pas facile à s’échapper. Nous étions dans une immense bulle sous l’eau … dans une sorte de lit en matière… assez douce et pas très chaude. Il faisait frais. Il avait de la nourriture inconnue mais les odeurs étaient attirantes et je me demande si ce n’est pas le régime grossesse de Tomoe… Il avait un point d’eau, sorte de petit bassin à l’eau rose et couverte de diverses fleurs aquatiques. Il avait sur le mur du fond, une fresque montrant nos hôtes dans des positions équivalentes, comme si le kama sutra nous était inconnu à moins que ça soit inspirant ? C’est gentil tiens… il en a des sympa tiens ! Non mais vraiment, ils ont DEUX PENIS ? Bah bordel… je me demande si c’est une double pénétration ou quand l’un est vide l’autre prend le relais. Il avait aussi des images de buffet avec diverses créatures pour donner la gaule de sa vie… coooool… Tomoe était à mes côtés, elle était dans une tenue étrange, une sorte de jupe fluide, comme si elle était en nageoire de poisson rouge à voile… et un cache cœur en coque de nacre… pour ma part… je n’étais pas mieux habillé, avec un pagne de voile membraneux, mais pas visqueux, j’avais quand même l’impression d’être à poil… car sous ça, je n’avais rien d’autre. Nos affaires étaient où ? Dans l’eau nageait justement deux serpents de petites tailles à comparer de l’autre le violet et un vert. Je suppose que ce sont des bébés…mais nos gardiens. C’est en levant la tête, que j'ai pu constater qu’il avait une grille assez haute avec des FauSy qui nous regardaient comme s’ils se disputaient la priorité.
« « La femelle n’est pas prête encore ! » Tant mieux, si elle n’est pas alignée selon la bonne bulle d’eau pour se faire violer ! Je pestai, secouant un peu l’épaule de ma mentor. Le regard un peu flou encore. « Tomoe, nous avons une belle chambre pour la nuit de noce. Si ce n’est pas merveilleux ça ! » fis-je avec ironie.
missives : 365
ici depuis le : 30/03/2020
Espèce : Esprit du Renard Lumineux
Ligue : Intronisée - Chasseur
Occupation : Propriétaire d'un Salon de Thé - Le London’s Chashitsu
Age : 743
Devise : Vous pouvez empêcher votre adversaire de vous battre grâce à la défense, mais vous ne pouvez pas le battre sans prendre l'offensive.
Signes particuliers : Yeux noirs, cheveux noirs, 165cm, silhouette taillée en graine, souvent habillée comme une lady anglaise tout ce qu'il y a de plus classique. Sous sa forme de renard : pelage blanc et fourni, petit modèle, huit queues.
Le regard déterminé, Tomoe attendait. Elle voulait que ses barreaux s’ouvrent et qu’ils entrent pour en découdre. Elle serait dans son élément, et elle pourrait au moins avoir le sentiment de défendre son existence, d’être actrice de sa destinée. Lucian vint vers elle, certainement pour se mettre en position, quand le roi fit sortir un serpent de son cru. Instinctivement, Tomoe percuta rapidement qu’ils allaient encore leur cracher du venin à la gueule ou quelque chose comme ça. Elle arma le javelot alors que la créature soufflait un nuage, et elle l’envoya avec toute sa force, dans un cri de rage martiale et frustrée. Elle ne put que constater que l’arme se fichait dans le torse du roi tandis qu’elle s’effondrait à genoux, et que sa vision se troublait. Elle dormait avant de percuter le sol. Combien de temps avait-elle dormi ? Elle n’en savait foutrement rien. Sa conscience revenait petit à petit, mais quand enfin elle percuta, elle se redressa d’une traite, prête à se défendre contre son violeur. Le brusque changement de position associée aux effets du nuage de toxine lui rendit l’équilibre précaire, et elle retomba mollement dans ce confort soyeux. Rien ne l’agressait pour l’heure, et cet instant de faiblesse n’allait pas se payer physiquement par une agression. Le souffle court, elle prenait petit à petit conscience de son environnement, surtout par ses sens olfactifs et auditifs, sa vision restant trouble. Il y avait des odeurs qui flottaient dans l’air, poivrée, similaire aux humeurs féminines, mais il y avait aussi une forme d’odeur plus puissante, plus masculine. Elle pointait au travers des multiples senteurs qui venaient caresser son nez. Au niveau du toucher, elle sentait qu’elle n’était plus trempée, mais bien sèche. Sa vision revenant petit à petit, elle constata qu’elle n’était plus dans ses vêtements. Son ventre était dénudé, sa poitrine simplement cachée par des coques en nacres, qui ressortaient cranement sur sa peau jaune. La jupe était élégante, fluide, rappelant les longues nageoires caudales des carpes. Elle ne portait rien dessous, elle le sentait clairement. Lucian la secoua un peu et elle s’entendit répondre :
« Qu’est-ce que c’est… que cet endroit... » répondit-elle devant la boutade cynique du jeune homme et les propos d’un FauSys qui les observait de là haut, alors qu’elle découvrait les alentours. Le côté bulle sous-marine était vraiment esthétique, et en d’autres circonstances, elle aurait aimé dormir dans ce genre d’endroit. Puis ses yeux se posèrent sur les images qui les entourait, sorte de Kama Sutra des profondeurs qui pouvait inspirer même le plus prude des curés.
Tomoe se leva, assura son équilibre, et se dirigea vers le bassin.
« Tourne toi Lucian s’il te plait. Tourne toi... »
Elle attendit qu’il obtempère pour passer sa main sous sa jupe et elle vint tâter son fruit défendu du bout des doigts. Elle se força à glisser un de ses doigts à l’intérieur, sans sentir de douleur, ou sans sentir de fluide anormal. Quand elle l’extirpa, elle l’observa. Il était propre, sans amas de spermes ou autres conneries.
« Ils ne m’ont pas encore violée. Je craignais qu’ils l’aient fait pendant mon sommeil. » finit-elle par expliquer avant de se nettoyer les mains dans le bassin. L’eau était limpide, douce, attirante, parfumée doucement. Elle revint vers le dragon, et elle murmura pour ne pas être entendue de prime abord par les créatures qui se disputaient au-dessus d’eux. « Terminons de chercher la sangsue. Tu as senti quelque chose dans mes cheveux ? » s’enquit-elle. Le temps était compté.
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