(CHRONOLOGIE IRP) Avril - mai - juin 1902 (REGLEMENT) avatars réels format 200*320, 200 mots minimum, deux réponses par mois minimum, multicompte autorisé, plusieurs espèces jouables. Plus d'infos juste ici.
Occupation : Emmerdeur professionnel (tiens une galerie, divers activités secretes)
Age : Trop vieux (environ 3 500 ans)
Devise : I fuck you every day, every week, every month, every years! Finally I fuck you for the eternity!
Signes particuliers : Tatouage en forme de serpent a coté de l'oreille droite. Yeux de serpent, roux, porte des lunettes de soleil, cicatrice dans le dos (coup de fouet) et marque sur le torse. tatouage doré complexe sur le poignet gauche
alignement : Chaotique neutre
équipement : Voir journal
C'est tout moi ça :
Avatar : David Tennant
Pseudo : Ina
DC : Tristan/Ayln/Gordon (Anastasis)/Alexan/Evalyn
J’étais furieux qu’on m’ait collé des parasites, cet environnement était malsain même pour un démon. Je n’avais pas envie de me faire violer une nouvelle fois, je n’avais pas envie d’assister à tout cela. Je voulais transplaner et me les farcir à coup de hache ou d’autre chose pour éclater leur crane… je me sentais sale je me sentais outragé par ce parasite mal placé… ça me rendait dingue et je montais dans les tours… loin très loin. Et Tomoe si calme, ne m’aidait pas avec sa colère… je me demande soudainement pourquoi, elle est encline à l’être. Je suis assez énervant, je le concède et pourtant j’avais l’impression que la limite était loin. Ici, elle était proche. Et pour lui prouver qu’elle n’était pas si calme… je lui fis une petite démonstration. Et elle pesta de plus belle ! retirant mon doigt. Et surtout sa colère montait et alimentait la mienne. Et quand les calme ne peuvent calmer les chaotiques bah faut que toujours les démons fassent le boulot ! ça ne me sert à rien de me mettre en colère contre elle, ça va juste donner un conflit inutile alors qu’on est dans la même merde.
« Bon j’ai raison, on est pas calme. Ni l’un ni l’autre. » et il avait sûrement de quoi. Et j’avais raison, chose qui compte. Je soupirai, essayant d’inspirer un peu. « On va dans le bassin, l’eau chaude va calmer nos ardeurs… sinon on va s’engueuler. Aucun intérêt à cela.
Je prenais sur moi… énormément et puis ça ne sert à rien, donc laisse tomber, j’ai pas de gain à ça voir même pire.. m’arrange pas cette affaire. Et fit volte-face vers ce bassin rose et aux odeurs florales… enfaite Tomoe, elle se vexe très facilement, fis-je dans ma tête alors que je me baissai pour toucher l’eau chaude… je toisais l’eau d’un œil suspicieux… ouai bah aussi, je n’ai pas envie de lui dire que ça me calme de dingue cette histoire de papouille… je me redressai. Mon regard chercha quelque instants quelque chose qu’il n’y avait pas… des serviettes. Bon. Je retirai cette jupe de nageoir fine et alla dans l’eau… ah oui c’est le pied… prison dorée avec bassin chaud au moins ils avaient bon goût sur ce point. on est frustré aussi… pas que sexuellement, cet endroit l’était… expliquant sûrement pourquoi on s’énervait vite. En tout cas, j’vais grogner de contentement.
missives : 365
ici depuis le : 30/03/2020
Espèce : Esprit du Renard Lumineux
Ligue : Intronisée - Chasseur
Occupation : Propriétaire d'un Salon de Thé - Le London’s Chashitsu
Age : 743
Devise : Vous pouvez empêcher votre adversaire de vous battre grâce à la défense, mais vous ne pouvez pas le battre sans prendre l'offensive.
Signes particuliers : Yeux noirs, cheveux noirs, 165cm, silhouette taillée en graine, souvent habillée comme une lady anglaise tout ce qu'il y a de plus classique. Sous sa forme de renard : pelage blanc et fourni, petit modèle, huit queues.
Il avait raison. Elle n’était pas calme du tout. Le fait qu’elle n’arrive pas à identifier clairement pourquoi elle était contrariée contribuait à amplifier cette contrariété. Elle fit aller sa langue contre sa joue, se la passent sur l’ensemble des gencives, tandis qu’il se détournait d’elle après avoir dit d’aller dans le bassin. Ce n’était même pas une proposition, et l’entêtement de la nippone lui donnait juste envie de ne pas y aller.
Donc… Si elle voulait prendre son contrepieds, c’était bien à cause de lui qu’elle était irritée. Mais pourquoi ? Est-ce qu’elle ne digérait pas la honte de ce matin ? C’était forcément lié à ça. C’était leur première dispute depuis qu’ils se connaissaient. Habituellement, ils arrivaient à discuter calmement, mais ce matin, leurs cultures respectives s’étaient heurtées durement.
Silencieuse, elle s’approcha du bassin. Elle avait détourné les yeux quand il était entré dedans, gardant cette forme de respectueuse pudeur encore qu’elle avait faillit laisser ses yeux se promener quand même. Pour sa part, elle ne s’encombra pas à se déshabiller. Quelque chose lui disait que ses vêtements étaient fait pour aller dans l’eau. Avec ce genre de voiles fendues qui devaient rappeler les nageoires d’un poisson, d’autant plus sous l’eau, il était plus simple de la violer sans chercher à la déshabiller. Elle était certaine que ça se passerait sous l’eau, comme elle l’avait expérimentée avant que Lucian ne la sauve, quand le FauSys l’avait à moitié noyé pour la déshabiller. Là, sous l’eau, entourée de cette tulle vaporeuse, elle ne serait que plus désirable pour ces créatures.
Elle s’immergea dans l’eau jusqu’au menton. Elle adorait l’eau chaude, comme au Pays. Au fond, il avait raison. Il n’y avait aucun intérêt à s’engueuler. Cela n’arrangerait pas leur bille, ni leur affaire. Ils devaient s’entraider pour se sortir de là. Elle poussa un soupir audible et approcha de Lucian.
« Ne bouge pas… s’il te plaît. » demanda-t-elle en y mettant un peu plus les formes même si son ton, surtout en japonais, était un peu sec. Il avait les yeux fermés. Elle passa derrière lui, et elle se tourna à son tour, venant caler son dos contre le sien, ainsi que l’arrière de sa tête contre la sienne.
Dans un murmure qui se calquait sur le bruit régulier de l’onde qui descendait d’un petit promontoir rocheux vers le bassin pour le brasser doucement, et paisiblement, elle ajouta :
« Garde les yeux fermés. » intima-t-elle doucement. « Est-ce que tu sens mes omoplates contre les tiennes, mes cheveux contre les tiens ? Est-ce que tu sens ma respiration, calme et souple, qui vient gonfler mon ventre ? Je sens tout cela chez toi, même si tu respires avec ton torse. Focalise toi là dessus.» continua-t-elle dans un murmure.
« Je vais retrouver mon lac intérieur paisible et calme, concentre toi sur moi, comme je me concentre sur ton calme. Nous allons les berner ces sangsues. »
Elle laissa flotter quelques minutes de calme paisible. Intérieurement, Tomoe était en train de retrouver son équilibre habituel, et mieux encore. Son rythme cardiaque était lent et régulier, apaisant. Sa respiration n’était plus qu’un souffle, un murmure, une légère brise.
« Pose tes mains sur tes cuisses, forme un triangle avec tes bras, ton nombril en est le centre. Penses, ressent, cherche en toi le calme, et petit à petit, tu te laisses flotter, près à dormir, mais éveillée. » Elle essayait de le mettre dans un état de suggestion consciente, d’auto persuasion.
Sa voix n’était toujours qu’un murmure. Elle était parfaitement calme. Elle introduisit une nouvelle notion :
« Ton nombril n’est plus le centre. Ton… Sexe devient le centre de ton corps. Tu as envie d’être détendu un maximum. Les tensions doivent se délier, s’harmoniser. Il fait doux, l’eau est enveloppante comme un être qu’on chéri, qu’on désir, qu’on possède. Laisse ton imagination s’envoler vers cet être que tu désires. Laisse là te guider. » souffla-t-elle de son ton qui se voulait monocorde, chuchoté.
Elle suivait son exercice à la lettre, qui de son esprit ou de ses sensations guidaient ses mots ? Elle laissait toujours quelques pauses plus ou moins longues, mais elle ne voulait pas qu’il parle.
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Elle n’avait pas vraiment quitté ses affaires… cela me fit penser que nos affaires étaient peut-être faites pour l’eau, des affaires de FauSy ? Eh bien c’est d’autant mieux que mon pagne soit loin de moi ! Juste par esprit de leur dire merde ! Et je n’ai pas de soucis de pudeur moi… remarque ça peut-être aussi par ce même besoin, que Tomoe avait garder le tout. Je n’aime pas avoir des fringues pour dormir ou bien me baigner, là voilà hop… zou. Je m’étais mit au centre, il était large et j’avais une bonne vision et surtout assise, j’avais de l’eau jusqu’au épaule et c’est plaisant… très même. J’aimais bien avoir des rapports dans l’eau ou me branler sous la douche… CHAUDE ! Là, je ne cherchai pas à savoir pourquoi ça me vient, mais bon sûrement à cause de la dose de frustration, d’excitation et cette odeur bizarre. Au moins c’est moins insidieux que le succube chez les Hiboux. Le soupir de la nippone, me fit tourner la tête avant de me stopper… bon d’accord et après ? Son ton sec m’irrita un peu, mais si elle avait une idée… peut-être me fouiner les cheveux ? Je l'ai sentie se mettre contre mon dos. Hum oui d’accord… elle commençait à m’intriguer avec ses ordres là … Je suivais donc le mouvement. Je devais me focaliser sur nos points de contact ? Soit…
« Oui… » répondit ma voix de ténor au ton grave. Elle m’expliqua qu’elle allait retrouver son calme intérieur… bien, c’est donc de la médiation, je faisais ça avec de l’hypnose. Je trouve ça intéressant une autre technique. J’eu un petit rire quand elle évoquait le fait de berner ses conasses de sangsue. Ça me plait ben de berner ! C’est ma spécialité. Je me concentrai sur elle, sa respiration et surtout ses émotions, laissant mon ventre prendre de profonde respiration ventrale et augmentant la sensation de détente. Naturellement je commençais à me mettre en auto-hypnose. Je déposai mes mains sur mes cuisses, formant ce fameux triangle … oui cela était assez similaire avec l’hypnose, donc je n’eu pas de mal à retrouver mon « intérieur » et mes muscles dans mon dos étaient moins fermes… enfin signe que ma respiration me procurait cette détente… quand soudainement elle introduit une nouvelle notion. Mon nombril n’était plus mon centre mais… mon sexe ? Cela me fila une décharge électrique dans le bas ventre… mais qu’est-ce qu’elle raconte ? Envie d’être détendue ? genre, comme après un acte ? Comme après avoir été si tendue qu’on en peut plus de cette frustration et qu’on veut prendre quelqu’un pour se soulager ? Ouai ça m’a presque l’air avec son délire d’harmonisation … l’eau enveloppante ? Mon être que je désire ? Me guider vers quoi ? Je tiquai un peu… Tu me suggères d’imaginer un acte charnel ? Mais autant se tripoter ainsi… comme ça on sera vraiment détendue… je ne suis pas contre, qu’elle se tourne et glisse ses mains vers ce centre qui est le miens, qu’elle m’enveloppe de ses mains pour remonter et descendre dans un rythme assez plaisant, alors que je finalement, ma main et glisse entre ses vallons pour tâter un peu du contour de ses pétales de jasmin… je me senti bander… j’ai bien entendu imaginé tout cela et … on fait quoi exactement ?
« Qu’est-ce qu’on est en train de faire ? »
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« On est en train de se détendre pour essayer de retirer les sangsues sur nous. » répondit Tomoe avec un calme zen et profond. Les yeux fermés, la nippone était concentrée sur sa propre voix, et sur sa propre respiration. Elle se projetait sur l’objet de son désir, et elle fut surprise, mais pas décontenancée parce qu’elle était dans un état méditatif et d’autosuggestion avancée, d’imaginer son binôme Alexan. Curieusement, ce n’était pas avec l’homme qui était derrière elle qu’elle était en train de se faire un film plutôt érotique, mais avec le Lamassus. Elle avait beaucoup de respect pour lui, mais elle ne pensait pas que ses valeurs et sa façon d’être puissent être source d’envie. Manifestement, si elle ne se voilait pas la face, elle se serait bien fait du bien avec lui.
Elle laissa faire, et continua de murmurer pour Lucian :
« Si nous entrons dans un sentiment de détente profond, je suis certaine qu’elles se détacheront. Je t’initie sur le tas au tantrisme. » Détendue, toujours dans le murmure, Tomoe n’était qu’un souffle dans le dos du Mizuchi. « Tu vas essayer d’avoir un orgasme sans… en mettre partout. » Elle était vraiment détendue pour parler de sexualité sans rougir. Pourtant, les yeux fermés, elle était parfaitement calme et sereine. Sa respiration s’ajustait à l’eau, son ventre s’arrondissant sans la troubler. « Si tu estimes que ce sera plus facile pour toi en te touchant, dits le moi, et je sors du bassin, je te laisserai à ton affaire pour poursuivre dans mon coin. Je ne veux pas donner l’impression à ses poissons que nous faisons quelque chose de sexuel, je crains que ça ne développe quelques sentiments chez eux qui les pousseraient au pire. » expliqua-t-elle dans un souffle.
Cependant, elle ne pouvait pas s’expliquer et se concentrer en même temps, alors elle demanda :
« Veux-tu essayer de poursuivre ? Tu n’es pas obligé d’aller sur le plan sexuel pour te détendre. C’est juste que c’est une sensation de détente ultime pour moi. » confia-t-elle.
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Oui, alors je pense bien qu’on n’est pas en train de faire une belotte. Je la sentais loin, dans le genre lointain… j’attendais une réponse plus concluante, refoulant mon cynisme, puisque je sentais qu’on pouvait s’énerver vite mais surtout parce qu’on avait un but commun. Le tantrisme ? Voilà quelque chose dont j’en avais vaguement entendu parler au Japon, enfin si mais je n’avais pas pratiqué. Quoique se faire des histoires sexuelles… eh bien oui car justement j’avais une imagination tellement débordante que mes rêves – avant qu’il soit teinté de cauchemar – était érotique et j’avais déjà eu pas mal d’orgasme nocturne. Bon… c’est sûrement étrange d’être initié comme cela dans ce genre de contexte… et je n’étais nullement gêné pour parler de sexualité, j'étais juste étonné venant d’elle avec sa petite démonstration de pudeur physique ou même aux légères avancées. Devais-je y voir une ouverture ? Non, sans aucun doute que ce n’était que pour nous détendre. Même si cela serait assez existant comme préliminaires détournés, je l’avoue. C’est une manière étrange de procédé mais bon, je crains que l’endroit nous influence un peu.
En mettre de partout ? Je me suis mis à rire à cette remarque … ouai, c’est sûr que le sperme flotte dans l’eau et ce n’est pas le mieux de souiller ce bassin. J’étais resté silencieux, elle continua à me parler… me proposant de me toucher dans le bassin… euh oui ça serait plus facile, mais bon je n’ai pas spécialement envie de me faire venir seul. Surtout qu'elle avait un argument de choc juste après. Me voir me tripoter pourrait être une insulte pour eux, comme ils voulaient ma semence et donc m’envoyer une troupe de femelle en rut pour récupérer. Bref, je comptais lui répondre sans tabou.
« C’est aussi une source de détente pour moi. » je ne vais pas mentir, ça et les papouilles dans les cheveux… j’aime trop le cul de toute façon. Et l’idée d’avoir une nouvelle technique me plaisait et cela m 'excitait aussi de l’avoir près de moi… sorte de petit tripotage métaphysique sans acte. C’est un côté nouveau qui donne envie.
« Je n’ai jamais essayé le tantrisme enfin pas dans un procédé de méditation, je suis curieux donc allons y. On ne risque rien qu’un peu de plaisir dans cet endroit déplaisant et ça va nous calmer sur tous les points. De plus, je ne pense pas que me branler soit une bonne idée. Ils y verront surement une ouverture et comme ils veulent aussi ma semence, je pense que ça va leur mettre le feu aux nageoires. Et puis ce bassin n’a rien demandé pour être souillé. » au pire, j’ai mes crocs, je me les stimulerai en même temps… et étant empathe je vais aussi profiter de ses émotions. Je callai mon dos, le rendant plus ferme pour qu’elle s’y adosse.
« Il faut que je parles aussi ? » Question con et j’ignore qui elle va mettre dans son désir, ça me regarde pas et je n’ai pas l’égo pour m’imaginer que ça soit moi. Non, elle fait bien ce qu’elle veut …
« Tu n’es pas obligé, si tu préfères que je continue de parler seule, je peux. » répondit-elle tranquillement. « Mais je crois que tu as raison, le mieux est de paraître immobile et de ne rien faire pour ne pas leur laisser penser que nous sommes prêts. »
« Comme tu le sens, je me cale sur toi, même si j’ai l’imagine trop fertile. » autant voir comment elle fait histoire de me caler ou non, c’est aussi excitant de faire venir quelqu’un avec sa voix. Enfin bon, le soucis étant que j’aurais envie de toucher après … et ce n’est pas le bon endroit. « Pour le peu qu’on puisse être prêt à un viol collectif. Enfin, ça doit être normal dans leur tête. »
« Je pense aussi… mais si nous arrivons à nous débarrasser de ces saloperies, on pourra être prêt nous aussi, à les recevoir comme il se doit. » dit-elle sombrement.
Elle semblait sortir de sa méditation, aussi reprit-elle et je ne la coupai pas, en accord avec ses propos, ils ne savaient pas ce qui les attendait… j'émis un grognement de gorge en signe d’acceptation. : « Je continue donc. L’idée est de vraiment faire appel à l’imagination tout en sentant son corps, comme si nous nous en servions. Faire monter la tension petit à petit, résister, se laisser aller, résister, se laisser aller. » « Bon. ça je sais faire. Allons donc dans nos fanstames... » dis-je d’un petit air plus léger.
Je me replongea dans ses premières paroles et la première image qui venu – sans surprise – fut Alva. Mon fantasme assez récurrent et cela me fit sourire alors que mon imagination se mettait en marche. Elle fut rejoint par Ermelinde. Décidément la sorcière serait ravie de ce genre de pensée, une nouvelle fois. Autant, elle serait surement d’accord (et faudrait que je l’emmène faire un plan à plusieurs, une autre femme et un homme, j’avais bien envie qu’elle se fasse doublement prendre et lécher une petit pèche duveteuse ou qu’elle se fasse lécher alors que sa bouche soit bien pleine et le cul aussi). Finalement, mon désir resta sur cette idée… avec donc la louve s’occupant de la petite humaine avant que je désire flatter les callipyges (que je connais bien de la louve a force de la voir à poil)… l’homme était juste là pour servir de double pénétration à l’une ou l’autre et je me sentais monté très vite… surtout que je stimulait de ma langue libidineuse mes crocs. Bref, je disais que Erme serait sûrement d’accord, mais la louve je ne pense pas… Qu'importe, les fantasmes c’est fait pour se faire du bien !
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Tomoe continua donc de psalmodier doucement sa petite litanie. Elle ne disait rien de suggestif, elle laissait juste ses paroles emplir la pièce de son murmure pour les guider tous les deux tranquillement, jusqu’au moment où elle n’avait plus besoin de parler parce que les images venaient remplacer les mots. Aurait-elle été en pleine possession de ses moyens qu’elle aurait pu y ajouter des illusions charnelles, mais elle ne faisait cela qu’avec un partenaire avec qui elle avait envie d’aller plus loin ensuite. Avec Lucian, ce n’était pas encore le cas. Et puis là, ce n’était de toute façon pas possible.
Au bout d’un moment donc, elle s’était tue. Sa respiration était plus ample tandis que les images et les sensations prenaient possession de son corps et de son esprit. Elle sentait le plaisir fourmiller dans ses seins et dans son sexe, titillant son bouton d’or. L’eau était caresse, délicieuse. L’odeur enivrante des humeurs féminines iodées lui donnait des envies de délices saphiques, et comme elle ne se bridait à aucun fantasme pour être certaine d’avoir ce qu’elle cherchait, et Alexan fut bientôt accompagnée de la louve Hennessy avec qui elle était partie en mission. Cette femme au caractère trempé avait tout pour lui plaire également. Tomoe ne se doutait pas une seconde que le couple de son fantasme pratiquait déjà la lutte greco romaine de façon très libre dans l’application des règles, toujours est-il que ce petit moment à trois lui apporta d’abord qu’elle soupirs et frémissements, qu’elle devait transmettre par son dos, sa peau, et l’ambiance, à Lucian derrière elle. C’était un jeu très intime que tout ça, qui pouvait la conduire à déraper rapidement, à se tourner vers le Mizuchi et à l’enfourcher. Elle se laisserait descendre d’une traite, avant de le mordre au cou doucement tout en ondulant sur lui comme une danseuse du ventre, le fessier bien galbé, les muscles bien serrés, pour le tenir au plus près d’elle afin de le sentir complètement et de l’envelopper aussi efficacement que l’eau qui les entourait. Son fantasme venait de se déplacer sans qu’elle ne s’en rende vraiment compte. Ses doigts étaient en train de casser le triangle qu’elle s’imposait depuis toute à l’heure, avec l’envie furieuse de venir caresser son antre interdit. Cependant, avec un effort de volonté, elle n’alla pas plus loin que son pubis, se laissant chauffer encore sans contact autre. Par instinct, elle referma ses doigts sur la sangsue. Elle la tenait délicatement, ne perdant pas son objectif de vue.
« Humpf... » gémit-elle doucement. Elle sentit son sexe se contracter sur du vide, une fois, deux fois, et l’orgasme vint après ce petit gémissement tout doux et discret qu’elle avait émit par le nez plus que par la bouche. Avec toute sa dignité nippone, les yeux fermés, Tomoe ne se cambra pas vraiment. Elle s’appuya un peu plus fortement sur le dos de Lucian, éprouvant sa musculature et sa fermeté virile, sa tête se balança un peu en arrière pour appuyer un peu plus sur son épaule, et elle se laissa aller sans bouger, sans gémir vraiment, mais en respirant de plus en plus fort par le nez, puis par la bouche, tandis que ses cuisses étaient bandées durement, ses orteils bloqués. Elle fut discrète, mais ce fut… puissant. Puissant, et frustrant.
Dans l’intervalle, elle tira sur la sangsue qui se décolla sans problème, et elle sentit en haut de sa tête la deuxième bestiole se tortiller avant de mourir. Seulement, le bassin changea de couleur. Son eau si limpide se teinta de rouge et d’or. Un tourbillon était en train de se former, offrant une rotation à l’eau qui procurait de douces sensations.
« « Le bassin, regardez le bassin ! Le niveau d’hormones est au maximum !! Maintenant !! »
Mais cette fois, Tomoe était prête, toujours assise dans le bassin, les yeux fermés, paisible, mais mortelle. Elle les attendait, et elle espérait que Lucian aussi.
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Je pouvais féliciter d’être imaginatif, même si je trichai avec la peau sensible de mes crocs, me déchargeant de quelques piques électriques… et encore j’inspirai plus profondément laissant émettre un grognement, sentant surtout les fourmillements de Tomoe dans mon dos. Les yeux clos, je laissai libre court à mes fantasmes et autres lubricité… mais les émotions de la renarde me prenait les narines avec l’envie de me tourner et de glisser une main vers son jardin interdit, de la faire jouir autant qu’elle, voire de la faire basculer contre moi, pour qu’elle s’emballe sur moi et que je continue à jouer, la mordant avec ferveur voir peut-être jusqu’à quelques perles de sang, comme j’avais mordue Alva ou bien elle… dans cette joute stupide dans ma chambre, je l’avais menacé de la mordre une nouvelle fois et ce ut moi qui avait fini par avoir la gorge marqué et … enfer que j’avais été excité de ce combat, plus qu’avec les autres, à cause de cette morsure sauvage, de nos corps pesant l’un contre l’autre de nos roulades à terres et du fait que je m’étais retrouvé plaqué contre le mur avec la furieuse envie qu’elle glissa sa main devant, collant son bassin au miens, pour me mener… mes idées s’enchainait ainsi que le visage de mes partenaires et je me sentais monter au plus vite entre mes crocs, les images et le plaisir explosif de Tomoe… elle alla dans ses montagnes russes bien avant moi et cela fut festival pour l’empathe que je suis ! Je ne sais pas comment j’ai résisté à l’envie de m’empoigner et de me faire rendre ici… surement parce que ma tête était en train de vriller sévèrement, imaginant sans peine, ce que j’avais envie de lui faire, alors que son dos pesait contre le miens et que j’encaissais avec plus de fermenté et que mes crocs se mirent à s’électrifié pour remonter le long de ma mâchoire et au cerveau, déversant un flot orgasmique complétement différent de celui du sexe.
« Han… » dis-je dans un soupir alanguis, laissant ma tête basculer vers le haut quelques instants. Si, elle était discrète moi … je le suis nettement moins et je faisais taire mon plaisir en serra la bouche. Ce qui me dérangeai n’était pas sa présence, mais celle des autres poissons et comme nous voulions éviter de les mettre en forme … c’est des grognements et des frissons qui furent marqués. Ma main s’était accroché à la petite boursouflure de la sangsue et je pu le décrocher d’un coup sec… je sentis un picotement à l’arrière de mon crâne et quelques choses tomber le long de ma nuque. Cela me dégoutait et la retirait en les transperçant de mes griffes et les balançant toutes deux sur le côté, là où le sol était dur. Hors de question de les remettre dans l’eau avec nous dedans. J’avais remonté mes cuisses avant de les remettre en tailleur… je soutenu les mouvements et le laissé aller de Tomoe, restant ferme dans mon dos, même si mon soupir indiquait ma détente. C'est étrange, la sensation de jouir ensemble sans vraiment se toucher. Cela était très frustrant et j’avais envie de plus. La bouche entrouverte, je finis par les ouvrir quand une voix parla du bassin… qui en effet était plus du tout pareil. En voulant nous détendre dans l’onde chaude, on avait juste déclenché ce qu’on ne voulait pas. Je me sentirai à nouveau irrité et je soupirai sous la sensation du tourbillon sur ma verge encore bien droite et sensible. Je collai mon dos à elle lâchant dans un souffle.
« J’ai oublié la panure… »
Et le contenant de la panure ne tardèrent pas à venir, descendant le long d’une corde pour nous rejoindre. Quatre mâles et deux femelles. Je n’avais pas besoin d’ouvrir les yeux pour connaître la teneur de leur regard ni même voir en vraie la double érection qui ne présage rien de bien bon pour l’intimité de mon mentor. On attendit qu’ils s’approchent suffisamment près du bassin, avant que le premier trop focus sur nous pour voir les sangsues inertes … j’ouvris les yeux vers eux et leur sourire affreux me donnait envie de leur éclater la mâchoire. Remarque… cela allait arriver ! Je chopai le premier qui venait avant qu’il ne touche Tomoe, lui serra la mâchoire avant de lui attraper l’un des phallus et lui briser… mes ombres se mirent à jouer et le second fut une brochette peu ragoutante alors que celui que je tenais se faisait arracha le maxillaire du bas et transpercer sans autre forme de procès. Son sang coulait le long de mes doigts et j’eu un rictus cruel. Debout et à poil, j’en avais rien a faire !
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Devise : Vous pouvez empêcher votre adversaire de vous battre grâce à la défense, mais vous ne pouvez pas le battre sans prendre l'offensive.
Signes particuliers : Yeux noirs, cheveux noirs, 165cm, silhouette taillée en graine, souvent habillée comme une lady anglaise tout ce qu'il y a de plus classique. Sous sa forme de renard : pelage blanc et fourni, petit modèle, huit queues.
Tomoe se mentirait à elle-même si elle ne reconnaissait pas qu’elle avait envie de plus là tout de suite. Sentir Lucian dans son dos jouir lui donna envie de se masturber frénétiquement pour jouir plus physiquement cette fois. Elle se demandait cependant s’il avait éjaculé ou non, un peu honteuse de se dire que cela ne lui aurait pas déplu d’être dans ce bassin souillé par sa semence. Heureusement, elle était de dos pour ne pas montrer le rouge qui s’était emparé de ses joues, même si cela ne se voyait pas. Qui plus est, elle, elle aussi balançait les sangsues hors de l’eau, et rien que ce contact gluant et visqueux la ramena sur terre. Sans parler des poissons qui se décidèrent à attaquer. Pile dans le bon timing !
Les yeux fermés, Tomoe était encore dans son état de pleine conscience liée à cette méditation plutôt sexuelle. L’eau qui tournait lui caressait sa peau rendue électrique par cet orgasme un peu frustrant. Pourtant, elle était prête. Elle sentait que l’esprit renard en elle était furieux. Il avait lutté pour se défendre, pour vivre, et il voulait en découdre au travers d’elle. Sa puissance s’était focalisée. Même sans sabre, même sans arme, elle allait être meurtrière.
« Ce n’est pas grave. Je les aime cru. » murmura-t-elle à Lucian qui eut un grognement appréciateur.
Ses yeux s’ouvrirent au moment même où Lucian passait à l’action. Le deuxième mâle en profita pour essayer de s’en prendre à elle. Il fonça sur cette proie impassible, sauf qu’il s’arrêta en s’apprêtant à sauter dans le bassin quand il vit en face de lui… une femelle FauSy. Pris dans l’illusion de la nippone, il ne vit pas la mort arriver, quand elle le renversa pour lui claquer la nuque sur le bord du bassin. il y aurait de petites arrêtes dispersées dans le filet de poisson ce soir !
Ses sept queues battaient l’air derrière elle. Elles avaient déchiré la robe fluide qui masquait son intimité, mais elle n’avait pas le luxe de s’en émouvoir pour le moment. Maintenant debout, la renarde fonça sur une des deux femelles, la percutant de son épaule pour l'entraîner au sol vers du mobilier qu’elles cassèrent. La japonaise se releva tout en tenant une assiette en orichalque. Tel un frisbee meurtrier, elle l’envoya sur la deuxième femelle plus loin. Poussée par une lame d’air véloce, l’assiette se transforma en projectile et vint frapper avec violence l’arrière du crâne de la créature. Juste le temps pour Tomoe d’armer un coup de poing et de frapper en plein visage la femelle qu’elle tenait entre ses jambes. Elle voulait du sexe, elle allait en avoir !! Qu’elle admire la vue tant qu’elle pouvait y voir clair, car Tomoe frappa une fois dans son nez, puis deux fois, puis plusieurs fois. A chaque coup, un poing d’air se formait autour de ses phalanges, lui donnant encore plus de percussions et de profondeur. Elle ne se contentait pas de frapper la surface extérieure dure et solide de la créature non, elle allait chercher ses organes internes avec la pression qu’elle faisait peser sur ses coups.
missives : 1797
ici depuis le : 03/03/2020
Espèce : Cauchemar de la colère
Ligue : Non
Occupation : Emmerdeur professionnel (tiens une galerie, divers activités secretes)
Age : Trop vieux (environ 3 500 ans)
Devise : I fuck you every day, every week, every month, every years! Finally I fuck you for the eternity!
Signes particuliers : Tatouage en forme de serpent a coté de l'oreille droite. Yeux de serpent, roux, porte des lunettes de soleil, cicatrice dans le dos (coup de fouet) et marque sur le torse. tatouage doré complexe sur le poignet gauche
alignement : Chaotique neutre
équipement : Voir journal
C'est tout moi ça :
Avatar : David Tennant
Pseudo : Ina
DC : Tristan/Ayln/Gordon (Anastasis)/Alexan/Evalyn
Eux qui s’attendaient plutôt à une séance de combat avec but sexuel, ne devaient que peu apprécier de devoir vraiment se battre pour sauver méprisable petite vie. Vous êtes tombé sur le mot lot de reproducteur mes petits ! Mon regard alla rapidement sur la nippone qui faisait des merveilles avec une rage tout à fait en accord avec la mienne, au moins je n’avais pas à faire semblant et tuer tout ce petit monde en toute frénésie joyeuse ! Mon regard se leva sur la corde qui emmenait à la sortie et d'autres FauSy s’y aventuraient voyant bien qu’il n’avait pas vraiment des percussions animées et sensuelles en bas… même si tout cela allait me mettre en forme. Quoique, je trouvais que ça manquait d’esthétisme, de beauté… leur sang était peut-être bien cramoisie mais il avait cette consistance un peu gluante à cause du musc sur leur peau carapacée. Non définitivement, si j’aime le poisson, ce n’était pas le cas pour eux. Cela gâcha un peu le plaisir ou même l’envie de rendre leur mort plus esthétique ou voir poétique avec quelques représentations de tableaux. Enfin un truc qui à de la classe quoi !
Bref, je me concentrai sur les nouveaux arrivants… recherchant des ombres et d’un mouvement de main je leur fit un petit salut et il eut des piques pour les embrocher telles les brochettes de merlus qu’ils étaient… au-dessus, les cris étaient une douce compilation. Et personne d’autres ne comptaient les rejoindre dans leurs tombeaux. Très bien. Nous avons donc mis un beau bordel dans leur petits cœurs et tripes. Il fallait plus que nous échapper … et retrouver quand même nos fringues, je n’avais pas envie de laisser mes affaires ici. Et aussi second élément : on avait un massacre à faire et je suis chaud comme la braise pour cette étape de désolation. Peut-être qu’on laissera des survivants, histoire qu’ils racontent à leurs œufs gluants qu’il ne faut pas faire chier ceux de la surface !
Bien, une bonne chose de faite, Tomoe s’était occupé des autres. Je me frottai les mains, avant de revenir nonchalamment vers le bassin, y retournant pour retirer le sang qui maculait mon corps, mon visage et mes mains. Cela avait giclé de partout !
« Je te propose une séance de ménage et qu’on trouve nos affaires. Cela nous permettra d’explorer un peu le lieu. Même s’il serait plus simple de fuir, je reste assez curieux. Qui sait on pourrait découvrir des trésors, autre que le kama sutra des rivières ! »
missives : 365
ici depuis le : 30/03/2020
Espèce : Esprit du Renard Lumineux
Ligue : Intronisée - Chasseur
Occupation : Propriétaire d'un Salon de Thé - Le London’s Chashitsu
Age : 743
Devise : Vous pouvez empêcher votre adversaire de vous battre grâce à la défense, mais vous ne pouvez pas le battre sans prendre l'offensive.
Signes particuliers : Yeux noirs, cheveux noirs, 165cm, silhouette taillée en graine, souvent habillée comme une lady anglaise tout ce qu'il y a de plus classique. Sous sa forme de renard : pelage blanc et fourni, petit modèle, huit queues.
De son côté, Tome ne faisait rien pour s’essuyer. Elle gardait le sang de ses ennemis sur elle, comme un trophée. Cela participait à la crainte qu’elle devait leur inspirer. Elle craignait cependant une chose : l’arrivée de renfort accompagné des gros serpents qu’ils avaient déjà eu le loisir de croiser.
« Je partage ton envie de massacre et d’exploration, mais j’ai peur que même avec nos pouvoirs, nous n’aurions pas l’avantage sous l’eau contre les serpents. Nul doute qu’ils vont revenir avec eux. » fit-elle en observant les alentours.
Ses septs queues avaient disparu, mais elle conservait ses oreilles et ses moustaches. Autant de sens supplémentaires pour voir venir. Sa robe fluide était retombée sur elle, la masquant de nouveau.
« Et puis, je crois que nous avons fait le tour de cette bulle… Je me demande s’il ne serait pas possible de la détacher du fond pour qu’elle remonte à la surface avec nous. Ce serait rapide et un peu plus protecteur que de nager, tu ne penses pas ? »
Elle ne semblait pas contre s’en aller sans ses affaires et sans les massacrer. Sous l’eau, elle n’était pas le renard le plus à l’aise. Quoiqu’il en soit, elle ne regardait pas directement Lucian pour s’adresser à lui afin de ne pas le détailler dans sa nudité. Au lieu de ça, elle observait les alentours, essayant de voir comment ils pourraient s’échapper ou faire bouger la bulle. Il semblait y avoir des amarres, discernables par transparence. Mais à combien de profondeurs étaient-ils sous l’eau ? « J’ai l’impression qu’ils sont au sec en haut… ils doivent avoir une petite citée sous-marine. » dit-il en finissant de se rincer, sortant de l'eau pour remettre de pantalon étrange qui lui arrachait des aigreurs de dégoût. « On peut l'envisager oui, quand on partira. » Lucian ne semblait pas vouloir s’en aller sans régler ses comptes. Tomoe acquiesça. Elle n’avait plus tellement envie de se battre, mais plus de s’en aller, mais elle comprenait aussi que l’affront méritait d’être… nettoyé. « Donc on remonte là haut, et on avise en avançant ? » demanda-t-elle en levant le nez vers l’ouverture là-haut. Il est vrai que l’eau ne tombait pas, donc cela devait être relativement sec là-haut. Elle s’approcha de la corde et l’éprouva en tirant dessus. Ils pouvaient s’en servir pour grimper. Le premier qui allait passer allait certainement montrer toute son intimité à l’autre, mais tant pis.
Elle soupira, tira une nouvelle fois sur la corde, avant que sa deuxième mains n’attrapa à son tour l’écrin tressé. « Allons voir ce qu’il se passe. » fit-elle en opinant du chef avant de bander ses muscles pour se hisser. Elle croisa ses jambes sur la corde pour se donner plus de prise, et elle se mit à grimper. Il y avait quand même une bonne hauteur, mais elle était entrainée. Elle progressa rapidement en s’aidant de ses bras et de ses jambes, sans faire de pause. Quand elle se hissa en haut, elle était en nage. Fort heureusement, aucun poisson n’était venu troubler la montée.
Elle préférait se dire que Lucian n’avait pas trop profiter du spectacle, mais de toute façon ils n’avaient pas trop le choix, et limite, elle préférait dans ce sens que dans l’autre. La voie semblait libre. Ils avaient le choix, soit de partir à droite, soit à gauche. Les murs n’étaient pas transparents, si bien qu’il était difficile de se repérer sur une éventuelle direction à prendre. Tomoe réajusta ses coquillages qui lui servaient de tenue pour le haut, lesquels avaient bougé pendant la grimpette. Elle reniflait et faisait aller ses moustaches. Sans trop savoir sur quoi elle se basait, elle opta pour la gauche. Elle attendit que Lucian la rejoigne, l’aidant si besoin, puis elle fila dans la direction qu’elle avait choisi. Ses pieds nus ne produisaient pas de bruit sur le sol lisse. Elle avançait avec une certaine précaution, la vahiné des fonds des marins. Son ventre, après l’effort, laissait ses abdominaux légèrement dessiné sous sa peau, de même que ses bras affichaient des rondeurs liées aux muscles qui restaient esthétiques.
« Regarde... » murmura-t-elle en montrant une salle qui s’ouvrait sur leur gauche. A l’intérieur, il y avait tout un tas d'œufs. La pièce était dans un courant chaud sous l’eau car l’atmosphère à l'intérieur était étouffante. Il y avait même un peu de vapeur. « Des oeufs de serpents tu penses ? » souffla-t-elle en venant poser ses doigts sur une coquille, parfaitement lisse. Pas un seul des oeufs étaient similaires en terme de couleur.
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